Les ressources naturelles appartiennent au peuple, il faut impérativement les préserver. " Préserver ces ressources c'est essayer de voir comment est-ce qu'il devrait y avoir cohabitation entre l'exploitation des hydrocarbures et des mines et l'exploitation des autres secteurs", a dit Birahime Seck, coordonnateur du Forum Civil.
"On se rend compte souvent que les zones d'exploitation minière ne font pas l'objet de réhabilitation ni de restauration. On fait perdre des moyens de subsistance, des moyens de transformation économique aux citoyens au profit également de l'exploitation minière qui ne génère pas assez d'argent comme le ferai le secteur agricole, le secteur de l'élevage", a-t-il ajouté.
Selon lui, ces catastrophes écologiques qui nous guettent sont dues à certaines faiblesses, surtout la faiblesse ou le défaut de l'accès à l'information. "La loi exige que les entreprises qui sont en situation de recherche ou d'exploitation élaborent des études d'impact environnemental mais également des plans de gestion environnementale et sociale".
Création d'une agence nationale d'étude d'impact environnemental
D'après Birahime Seck, "ces documents ne sont pas accessibles ni aux journalistes ni également aux citoyens et ce qui n'entre pas dans le sens de promouvoir la transparence".
Pour lui, il y a une faiblesse dans le suivi environnemental. " Les instituts qui sont dédiés au niveau de l'Etat pour faire le suivi environnemental, pour voir si les études d'impact environnemental ou pour voir si ce bloc de l'évaluation environnementale composée de l'audit environnemental, de l'évaluation environnementale stratégique. On se rend compte qu'il n'y a pas assez de structures fournies en matériel ou en moyens humains et financiers pour pouvoir faire le travail", a-t-il indiqué.
Poursuivant, le Forum Civil propose une piste réflexion pour que la DEEC qui est une direction au niveau du ministère de l'Environnement, chargée également au niveau de ces structures au niveau régional, qui est chargée également de faire le suivi environnemental puisse être transformé aujourd'hui en une agence nationale des études d'impact environnemental. "Pour que fondamentalement qu'elle puisse disposer de moyens humains, de compétences, mais également de moyens matériels pour pouvoir faire son travail de façon convenable".
Selon Birahime Seck, c'est l'application du code forestier, du code de l'environnement et du code minier qui fait défaut. " C'est pourquoi nous prônons une révision de tout le circuit, de l'ancrage du cadre juridico-institutionnel de suivi environnemental qui peut déboucher vers une agence nationale de suivi environnemental ou d'étude d'impact environnemental. Mais également de revisiter tout cet arsenal au niveau du ministère de l'Environnement pour que l'accès à l'information soit une réalité", a-t-il précisé.
Il invite l'Initiative sur la Transparence dans les Industries Extractives (ITIE) a joué sa partition sur la publication de tous les PGES (Plan de Gestion Environnemental), pour que les citoyens puissent accéder à l'information.
"On se rend compte souvent que les zones d'exploitation minière ne font pas l'objet de réhabilitation ni de restauration. On fait perdre des moyens de subsistance, des moyens de transformation économique aux citoyens au profit également de l'exploitation minière qui ne génère pas assez d'argent comme le ferai le secteur agricole, le secteur de l'élevage", a-t-il ajouté.
Selon lui, ces catastrophes écologiques qui nous guettent sont dues à certaines faiblesses, surtout la faiblesse ou le défaut de l'accès à l'information. "La loi exige que les entreprises qui sont en situation de recherche ou d'exploitation élaborent des études d'impact environnemental mais également des plans de gestion environnementale et sociale".
Création d'une agence nationale d'étude d'impact environnemental
D'après Birahime Seck, "ces documents ne sont pas accessibles ni aux journalistes ni également aux citoyens et ce qui n'entre pas dans le sens de promouvoir la transparence".
Pour lui, il y a une faiblesse dans le suivi environnemental. " Les instituts qui sont dédiés au niveau de l'Etat pour faire le suivi environnemental, pour voir si les études d'impact environnemental ou pour voir si ce bloc de l'évaluation environnementale composée de l'audit environnemental, de l'évaluation environnementale stratégique. On se rend compte qu'il n'y a pas assez de structures fournies en matériel ou en moyens humains et financiers pour pouvoir faire le travail", a-t-il indiqué.
Poursuivant, le Forum Civil propose une piste réflexion pour que la DEEC qui est une direction au niveau du ministère de l'Environnement, chargée également au niveau de ces structures au niveau régional, qui est chargée également de faire le suivi environnemental puisse être transformé aujourd'hui en une agence nationale des études d'impact environnemental. "Pour que fondamentalement qu'elle puisse disposer de moyens humains, de compétences, mais également de moyens matériels pour pouvoir faire son travail de façon convenable".
Selon Birahime Seck, c'est l'application du code forestier, du code de l'environnement et du code minier qui fait défaut. " C'est pourquoi nous prônons une révision de tout le circuit, de l'ancrage du cadre juridico-institutionnel de suivi environnemental qui peut déboucher vers une agence nationale de suivi environnemental ou d'étude d'impact environnemental. Mais également de revisiter tout cet arsenal au niveau du ministère de l'Environnement pour que l'accès à l'information soit une réalité", a-t-il précisé.
Il invite l'Initiative sur la Transparence dans les Industries Extractives (ITIE) a joué sa partition sur la publication de tous les PGES (Plan de Gestion Environnemental), pour que les citoyens puissent accéder à l'information.