« Nous ne ménageons aucun effort afin de permettre à notre pays de reprendre sa part et sa place dans l’ITIE. La première mission consistera par la désignation en ce qui concerne le secteur extractif de leurs représentants, tant pour le pan pétrolier que pour le pan minier. »
L’ITIE regroupe trois principaux acteurs: l’État, les compagnies minières et pétrolières, ainsi que la société civile. Georges Mpaga est le représentant de la société civile: « Nous ne sommes pas là pour accompagner le gouvernement, nous sommes là pour nous assurer de la transparence de la bonne gouvernance des revenus du secteur extractif. »
Manque de transparence
Le Gabon avait adhéré pour la première fois à l’ITIE en 2003. Il avait été suspendu en 2013 pour avoir été incapable de fournir les rapports des années 2009, 2010 et 2011. Le secrétariat international de l’ITIE, basé à Oslo en Norvège, avait alors pointé un manque de transparence notoire.
L’ITIE regroupe trois principaux acteurs: l’État, les compagnies minières et pétrolières, ainsi que la société civile. Georges Mpaga est le représentant de la société civile: « Nous ne sommes pas là pour accompagner le gouvernement, nous sommes là pour nous assurer de la transparence de la bonne gouvernance des revenus du secteur extractif. »
Manque de transparence
Le Gabon avait adhéré pour la première fois à l’ITIE en 2003. Il avait été suspendu en 2013 pour avoir été incapable de fournir les rapports des années 2009, 2010 et 2011. Le secrétariat international de l’ITIE, basé à Oslo en Norvège, avait alors pointé un manque de transparence notoire.