L'économiste Mohamed Niang affirme qu'« un État ne fonctionne pas seul, ce sont des mécanismes qui font fonctionner un pays ». Il souligne l'importance de créer un environnement juridique favorable pour inspirer confiance aux investisseurs.
En réagissant à la conjoncture économique actuelle, il observe que les « pays de la sous-région sont habitués à une circulation monétaire intense, souvent sans un contrôle rigoureux ».
Selon lui, la « reddition des comptes initiée par le nouveau régime est une bonne chose, mais ne colle pas avec la réalité de nos économies africaines, où l'argent circule à flot ».
D'après l'économiste, «certains remarquent qu'il y a des contrôles accrus sur la circulation de fonds soupçonnés douteux, certains vont retenir leur argent. Il considère que le concept du " Jub, Jubaal, Jubanti" ne colle pas avec la réalité de nos économies ».
S'épanchant sur la dette de 8 mille milliards 125 millions de FCFA, il estime que la dette n'est pas une mauvaise chose. Mais, souligne-t-il, il « faut vérifier si l'argent emprunté a été réellement investi dans les secteurs projetés. Selon lui, « c’est par la suite qu'on pourra voir si les investissements sont rentables ou pas ».
Pour lui, « l'Etat doit se concentrer à apurer la dette intérieure pour éviter d'essouffler les entreprises ». Selon lui, éponger la dette due aux entreprises et aux prestations de services permettra de soulager les travailleurs.
En réagissant à la conjoncture économique actuelle, il observe que les « pays de la sous-région sont habitués à une circulation monétaire intense, souvent sans un contrôle rigoureux ».
Selon lui, la « reddition des comptes initiée par le nouveau régime est une bonne chose, mais ne colle pas avec la réalité de nos économies africaines, où l'argent circule à flot ».
D'après l'économiste, «certains remarquent qu'il y a des contrôles accrus sur la circulation de fonds soupçonnés douteux, certains vont retenir leur argent. Il considère que le concept du " Jub, Jubaal, Jubanti" ne colle pas avec la réalité de nos économies ».
S'épanchant sur la dette de 8 mille milliards 125 millions de FCFA, il estime que la dette n'est pas une mauvaise chose. Mais, souligne-t-il, il « faut vérifier si l'argent emprunté a été réellement investi dans les secteurs projetés. Selon lui, « c’est par la suite qu'on pourra voir si les investissements sont rentables ou pas ».
Pour lui, « l'Etat doit se concentrer à apurer la dette intérieure pour éviter d'essouffler les entreprises ». Selon lui, éponger la dette due aux entreprises et aux prestations de services permettra de soulager les travailleurs.
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