Au niveau de leur siège, le Fédération des élèves et étudiants gambiens (Fegamso), avec le Meejir réfléchissaient sur "un mouvement islamique plus ouvert et capable et relever les défis actuels économiques". Étant à leur 6ème édition, l'occasion a été saisie par le président du Meejir Mohamed Lamine Gueye, d'attirer l'attention des autorités sur le fait que le système éducatif sénégalais doit être revue.
Pour lui, "il ne faut pas que les élèves soient lésés. Que les spécialistes sur la question puissent être interpellés. L'année blanche n'est pas la solution. Et si tel est le cas, ce serait des milliards perdus". S'agissant des saccages dont ont été victimes des écoles de la capitale, Mr Gueye dit "être désolé du fait que les écoles nous appartiennent tous. Le gouvernement, les professeurs comme les parents d'élèves et les élèves doivent se retrouver autour d'une table afin de trouver un juste milieu".
La question sur la crise casamançaise n'a pas été occultée. Avec leurs camarades de la Gambie, le Meejir compte œuvrer pour la recherche de la paix. S'agissant du thème, Mohamed Lamine Gueye fera savoir qu'"il est temps que les peuples islamiques soient conscients des mutations économiques. Il faut être aussi le citoyen modèle, parlé de la politique".
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