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Le Ministre de la communication, Cheikh Bamba Dieye mise 3 millions de FCFA pour inciter les filles aux TIC

Trois millions de FCFA, c’est la somme promise par le Ministère de la Communication, des Télécommunications et de l’Economie Numérique à la lauréate du concours «Jiggen Ci TIC», ce 19 avril à 17 heures à l’Ecole Supérieure Multinationale des Télécommunications (ESMT), dans un communiqué qui nous est parvenu.



Le Ministre de la communication, Cheikh Bamba Dieye mise 3 millions de FCFA pour inciter les filles aux TIC

 S'inscrivant dans la campagne «Tech Needs Girls» lancée par l'UIT à l'occasion de la Journée internationale des jeunes filles dans le secteur des TIC, ce concours vise à montrer la capacité d’innovation des filles et promouvoir l’entreprenariat féminin dans le secteur des Technologies de l’Information et de la Communication (TIC).
 
Douze (12) solutions innovantes et projets d’entreprises viables vont être développés. Mieux, les meilleurs bénéficiant de primes, le premier prix est fixé à trois millions de Francs CFA (3 000 000 FCFA).


Jeudi 18 Avril 2013 - 15:20


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1.Posté par kathior ka le 19/04/2013 02:34
État de droit, gouvernance vertueuse, transparence, etc. à l’épreuve des faits.
« Une civilisation qui ruse avec ses principes est une civilisation moribonde. »

Un recteur qui ignorait royalement l'autonomie des structures et les lois du Sénégal, avec une gestion hors norme tant décriée par les syndicats et des citoyens de tous bords se retrouve nommé Ministre de l'Enseignement Supérieur de la Recherche, sans autre forme de procès. Les faits avérés qui lui sont reprochés sont d'une telle gravité qu'il ne doit certainement son "salut" (c'est temporaire, car un jour chacun rendra des comptes, ces anciens amis du PDS ne diront pas le contraire) que grâce la transhumance du PDS à l'ARP à la 25ème heure. Les "amis" avant la patrie.


« Nos institutions d’enseignement supérieur ont surtout un problème de management (mal gouvernance, corruption, népotisme, dépenses de prestige, gestion solitaire en lieu et place de la gestion démocratique et légale, non respect des lois et des règlements, etc.) avec la complicité active ou passive de la communauté universitaire (avantages indus, intimidations, etc.), des autorités étatiques qui, jusqu’à présent, feignent de ne rien savoir (n’ont-ils pas les moyens de savoir ce qui se passe ?) pour éviter la confrontation avec ceux (les amis politiques !) qui sont nommés à la tête de ses structures et qui agissent parfois comme des monarques en gérant la chose publique à leur guise.
En effet quand les dirigeants (nommés par les autorités) gèrent la chose publique en dehors des normes établies sans être inquiétés le moindre du monde (pour ne pas dire promus à des stations plus juteuses), les syndicats demanderont des chosent hors normes et c’est le début du CHAOS.

Il est temps de restaurer l’État de droit (et donc des devoirs) ; il est indispensable, avant toute promotion, d’étudier sérieusement la gestion présente et passée du pressenti. »

Sauvons nos universités publiques du naufrage.
(leral.net 9 oct. 2012 de Citoyen)

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