"Le Mouvement Jambar, qui évolue dans les relations internationales africaines concomitamment avec son activité d'observation et de dénonciation des incohérences du processus électoral au Sénégal, soutient le Président de la Raddho, Mr. Alioune Tine, agressé le 23 Juin 2011 par des bandits qui se réclament de l'autorité politique de Abdoulaye Wade et menacé aujourd'hui de restrictions en matière d'observation des élections par le Gouvernement du Sénégal".
Sur l'actualité de ce vendredi qui tourne autour du procès de Malick Noël Seck,"le Mouvement Jambar observe que le Secrétaire général de la Convergence Socialiste, Malick Noel Seck, a posé un acte politique responsable qui rappelle l'actualité du combat contre la candidature inconstitutionnelle de Abdoulaye Wade et souligne que le terrorisme d'Etat, pratiqué depuis 2000 par le régime de l'alternance, n'effraie aucun patriote. Pour suite, Monsieur Malick Noel Seck, est un prisonnier politique du régime autocratique de l'alternance au Sénégal".
Comme pour dire que ce n'est pas demain la fin des contestations,"le Mouvement Jambar invite les SS du Gouvernement du Sénégal à reconstituer les bureaux de la Gestapo pour éliminer tous ceux qui s'érigent contre les excès de la gouvernance toxique de Abdoulaye Wade".
Sur l'actualité de ce vendredi qui tourne autour du procès de Malick Noël Seck,"le Mouvement Jambar observe que le Secrétaire général de la Convergence Socialiste, Malick Noel Seck, a posé un acte politique responsable qui rappelle l'actualité du combat contre la candidature inconstitutionnelle de Abdoulaye Wade et souligne que le terrorisme d'Etat, pratiqué depuis 2000 par le régime de l'alternance, n'effraie aucun patriote. Pour suite, Monsieur Malick Noel Seck, est un prisonnier politique du régime autocratique de l'alternance au Sénégal".
Comme pour dire que ce n'est pas demain la fin des contestations,"le Mouvement Jambar invite les SS du Gouvernement du Sénégal à reconstituer les bureaux de la Gestapo pour éliminer tous ceux qui s'érigent contre les excès de la gouvernance toxique de Abdoulaye Wade".