La clameur qui a suivi les déclarations à Sédhiou du ministre d’Etat, ministre de l’Intérieur n’a pas fini de se faire entendre. Pour le Mouvement Tekki une telle parole sortie de la bouche d’un ministre de la république mérite une démission.
« Une telle déclaration, sortie de la bouche d’un ministre de la république, de surcroît chargé d’assurer la sécurité des citoyens, exige que les démocrates soucieux de la paix sociale demandent sa démission » ont soutenu Ndéye Fatou Touré et compagnie qui étaient en Bureau Citoyen National ce samedi.
A les croire, la déclaration du Ministre de l’Intérieur à Sédhiou à savoir « qu’il aurait donné l’ordre aux forces de l’ordre de tirer sur les élèves s’il n’avait pas des parents dans cette ville » s’inscrit dans le même registre que la tentative d’incendier la tribune occupée par des dirigeants politiques en meeting à Thiès.
Par ailleurs, le Mouvement Tekki a estimé que « le régime de Abdoulaye Wade devient de plus en plus violent avec la mise en selle du commanditaire présumé de l’agression sauvage des journaux l’As et 24 heures Chrono ».
C’est la raison pour laquelle, il demande aux juges patriotes de prendre leur responsabilité devant l’Histoire.
Car le régime SOPI a organisé la société sénégalaise en deux camps ; d’un côté, une caste de rentiers et de profiteurs embusqués dans les rouages de l’administration et adeptes de l’affairisme d’Etat et de l’autre côté, les populations qui font face aux « dix manques » de Wade : électricité, essence, eau, santé, assainissement, gaz, éducation, emploi, sécurité et démocratie.
La volonté de Me Wade d’accueillir au Sénégal les Haïtiens qui le désirent n’est pas du goût des camarades de Ndéye Fatou Touré. Ils estiment que Wade veut profiter du problème des Haïtiens pour se faire une virginité.
« Pour redorer son blason terni auprès de la Communauté internationale après sa tentative de corruption du représentant du FMI à Dakar et son agression verbale vis-à-vis de la Communauté chrétienne et des Imams dans sa volonté de défendre sa statue personnelle, Me Wade veut à présent exploiter politiquement la détresse des populations de Haïti» lit-on dans le communiqué.
« Une telle déclaration, sortie de la bouche d’un ministre de la république, de surcroît chargé d’assurer la sécurité des citoyens, exige que les démocrates soucieux de la paix sociale demandent sa démission » ont soutenu Ndéye Fatou Touré et compagnie qui étaient en Bureau Citoyen National ce samedi.
A les croire, la déclaration du Ministre de l’Intérieur à Sédhiou à savoir « qu’il aurait donné l’ordre aux forces de l’ordre de tirer sur les élèves s’il n’avait pas des parents dans cette ville » s’inscrit dans le même registre que la tentative d’incendier la tribune occupée par des dirigeants politiques en meeting à Thiès.
Par ailleurs, le Mouvement Tekki a estimé que « le régime de Abdoulaye Wade devient de plus en plus violent avec la mise en selle du commanditaire présumé de l’agression sauvage des journaux l’As et 24 heures Chrono ».
C’est la raison pour laquelle, il demande aux juges patriotes de prendre leur responsabilité devant l’Histoire.
Car le régime SOPI a organisé la société sénégalaise en deux camps ; d’un côté, une caste de rentiers et de profiteurs embusqués dans les rouages de l’administration et adeptes de l’affairisme d’Etat et de l’autre côté, les populations qui font face aux « dix manques » de Wade : électricité, essence, eau, santé, assainissement, gaz, éducation, emploi, sécurité et démocratie.
La volonté de Me Wade d’accueillir au Sénégal les Haïtiens qui le désirent n’est pas du goût des camarades de Ndéye Fatou Touré. Ils estiment que Wade veut profiter du problème des Haïtiens pour se faire une virginité.
« Pour redorer son blason terni auprès de la Communauté internationale après sa tentative de corruption du représentant du FMI à Dakar et son agression verbale vis-à-vis de la Communauté chrétienne et des Imams dans sa volonté de défendre sa statue personnelle, Me Wade veut à présent exploiter politiquement la détresse des populations de Haïti» lit-on dans le communiqué.