Des rebelles du M23 à Kavumu, dans le Nord-Kivu, le 3 juin 2012. Photo AFP/ Mélanie Gouby
Les représentants des différentes communautés du Nord-Kivu rejoignent la démarche proposée par le président tanzanien, Jakaya Kikwete, le premier à avoir demandé publiquement à Kigali et à Kampala de négocier avec leurs rébellions respectives.
« Cette solution est plus avantageuse que toute autre car elle enlève au Rwanda et à l’Ouganda l’alibi souvent utilisé pour déstabiliser la République démocratique du Congo, explique Jean Sekabuhoro, le président de la coordination intercommunautaire du Nord-Kivu. Nous demandons à la communauté internationale d’exercer les pressions nécessaires pour que ces pays ouvrent sans délai les négociations avec leur propre rébellion et se soumettent au jeu démocratique au même titre que les autres pays africains dont la République démocratique du Congo ».
Hunde, Ngenge, Hutus et Tutsis, ainsi que les communautés de Walikale, saluent par le biais de leur représentant la présence du contingent tanzanien au sein de la brigade d’intervention de l’ONU à l’est de la RDC.
Source : Rfi.fr
« Cette solution est plus avantageuse que toute autre car elle enlève au Rwanda et à l’Ouganda l’alibi souvent utilisé pour déstabiliser la République démocratique du Congo, explique Jean Sekabuhoro, le président de la coordination intercommunautaire du Nord-Kivu. Nous demandons à la communauté internationale d’exercer les pressions nécessaires pour que ces pays ouvrent sans délai les négociations avec leur propre rébellion et se soumettent au jeu démocratique au même titre que les autres pays africains dont la République démocratique du Congo ».
Hunde, Ngenge, Hutus et Tutsis, ainsi que les communautés de Walikale, saluent par le biais de leur représentant la présence du contingent tanzanien au sein de la brigade d’intervention de l’ONU à l’est de la RDC.
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