La crise sociale, qui frappe le secteur de la santé, semble inquiéter le Parti de l’Indépendance et du Travail (PIT). En effet les camarades de Maguette Thiam sont largement revenus sur les maux qui gangrènent le système sanitaire du Sénégal. Ils ont peint un tableau assez sombre de ce secteur allant même jusqu’à estimé que «l’atteinte des Objectifs du Millénaire pour le Développement (OMD) relève de l’utopie, tellement le climat social continue de se dégrader dans le secteur de la Santé».
Les responsables du PIT de s’interroger: «comment ne pas remarquer la paralysie du système d’informations sanitaires, liée au mot d’ordre de rétention des informations sanitaires en cours, depuis plus de six mois, empêchant une maîtrise de l’évolution des indicateurs de santé contraignant les autorités sanitaires à une sorte de « navigation sans boussole »? Et que dire de l’accroissement de la dette hospitalière? Qu’en est-il de la négligence coupable dont sont victimes aussi bien la santé communautaire que les structures et agents qui s’y meuvent ? Que penser des redécoupages administratifs et des tripatouillages de la carte sanitaire, se traduisant par la création de nouvelles régions médicales et de nouveaux districts sans locaux ni moyens, sans oublier l’érection de nouveaux hôpitaux n’ayant pas toujours le plateau technique requis. Tout cela ne conduit-il pas à désarticuler le dispositif censé permettre l’atteinte des OMD ?».
Selon les camarades de Dansokho, ces objectifs sont du reste renvoyés aux calendes « libérales » par Modou Diagne FADA, qui a décidé d’adopter une attitude va-t-en guerre doublée d’une immaturité notoire, espérant pouvoir trouver une solution au conflit en dehors d’un véritable dialogue social».
Pour sa part, le P.I.T. appelle les dirigeants syndicaux à manier avec beaucoup plus de responsabilité le mot d’ordre de rétention de l’information sanitaire, à l’encadrer et à l’évaluer périodiquement. Cela, pour éviter la remise en cause des acquis de notre système sanitaire, acquis engrangés grâce à l’expertise et l’intelligence de milliers de travailleurs de la Santé et de l’Action Sociale,
particulièrement ceux officiant dans les zones rurales les plus éloignées. Dans un contexte de rareté des ressources et de gestion axée sur les résultats, les travailleurs doivent, pour le parti de Maguette Thiam, éviter de donner l’impression, qu’ils se désintéressent des questions liées à l’appui des Partenaires Techniques et Financiers et des O.N.G. ou à la culture du « rendre compte », qui ne concernent pas que les seules autorités gouvernementales.
Du gouvernement, le P.I.T exige, qu’il examine avec sérieux et responsabilité, les revendications des travailleurs de la Santé. Il demande aux travailleurs de la Santé et de l’Action Sociale de se réapproprier leurs organisations syndicales en se débarrassant de bonzes syndicalistes, plus enclins à entraver la lutte pour le respect des droits des travailleurs qu’à conduire des batailles pour la satisfaction de leurs revendications légitimes.
Les responsables du PIT de s’interroger: «comment ne pas remarquer la paralysie du système d’informations sanitaires, liée au mot d’ordre de rétention des informations sanitaires en cours, depuis plus de six mois, empêchant une maîtrise de l’évolution des indicateurs de santé contraignant les autorités sanitaires à une sorte de « navigation sans boussole »? Et que dire de l’accroissement de la dette hospitalière? Qu’en est-il de la négligence coupable dont sont victimes aussi bien la santé communautaire que les structures et agents qui s’y meuvent ? Que penser des redécoupages administratifs et des tripatouillages de la carte sanitaire, se traduisant par la création de nouvelles régions médicales et de nouveaux districts sans locaux ni moyens, sans oublier l’érection de nouveaux hôpitaux n’ayant pas toujours le plateau technique requis. Tout cela ne conduit-il pas à désarticuler le dispositif censé permettre l’atteinte des OMD ?».
Selon les camarades de Dansokho, ces objectifs sont du reste renvoyés aux calendes « libérales » par Modou Diagne FADA, qui a décidé d’adopter une attitude va-t-en guerre doublée d’une immaturité notoire, espérant pouvoir trouver une solution au conflit en dehors d’un véritable dialogue social».
Pour sa part, le P.I.T. appelle les dirigeants syndicaux à manier avec beaucoup plus de responsabilité le mot d’ordre de rétention de l’information sanitaire, à l’encadrer et à l’évaluer périodiquement. Cela, pour éviter la remise en cause des acquis de notre système sanitaire, acquis engrangés grâce à l’expertise et l’intelligence de milliers de travailleurs de la Santé et de l’Action Sociale,
particulièrement ceux officiant dans les zones rurales les plus éloignées. Dans un contexte de rareté des ressources et de gestion axée sur les résultats, les travailleurs doivent, pour le parti de Maguette Thiam, éviter de donner l’impression, qu’ils se désintéressent des questions liées à l’appui des Partenaires Techniques et Financiers et des O.N.G. ou à la culture du « rendre compte », qui ne concernent pas que les seules autorités gouvernementales.
Du gouvernement, le P.I.T exige, qu’il examine avec sérieux et responsabilité, les revendications des travailleurs de la Santé. Il demande aux travailleurs de la Santé et de l’Action Sociale de se réapproprier leurs organisations syndicales en se débarrassant de bonzes syndicalistes, plus enclins à entraver la lutte pour le respect des droits des travailleurs qu’à conduire des batailles pour la satisfaction de leurs revendications légitimes.
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