Le Parti Socialiste ne sera pas dans le prochain gouvernement annoncé avant le 04 avril par le Président de la République, Me Abdoulaye Wade.
Le Secrétaire général de cette formation politique, Ousmane Tanor Dieng, a fait comprendre qu’ «il est totalement exclu que nous rentrions dans un quelconque gouvernement». Le socialiste de laisser entendre: «nous n’allons pas, pour notre part socialiste, attendre la dixième année pour aller travailler avec Abdoulaye Wade. Tout le monde sait que si nous le voulions, nous y serions depuis le début ou bien avant». Il a affirmé que: «cette position, je peux l’affirmer et partager au niveau de Benno Siggil Senegaal». L’ancien Ministre d’Etat, Ministre des services et affaires présidentielle auprès du Président Abdou Diouf a fait savoir: «il ne s’agit pas de rencontrer et de discuter avec le gouvernement, avec Abdoulaye Wade pour faire des combinaisons pour aller manger à la sauce libérale». Pour lui, cela est totalement exclu, c’est clair, c’est net. Nous voulons discuter des problèmes du pays, des règles du jeu qui doivent gouverner la dévolution démocratique du pouvoir, le code électoral, le fichier électoral, les questions d’importances nationales stratégiques comme celle de la Casamance et celle du devenir de notre pays.
«Il nous parait essentiel dans une démocratie sur les questions de fonds que le pouvoir et l’opposition puissent échanger» a-t-il soutenu avant d’ajouter: «c’est ce qui se fait dans les pays du monde. Je suis toujours étonné d’entendre dire qu’entre le pouvoir et l’opposition autant il ne doit pas y avoir d’entrisme et autant il est indispensable que l’opposition et le pouvoir se parlent, échangent sur les questions d’importances nationales même si on aboutira pas forcément à un accord sur l’ensemble des questions»
Le Secrétaire général de cette formation politique, Ousmane Tanor Dieng, a fait comprendre qu’ «il est totalement exclu que nous rentrions dans un quelconque gouvernement». Le socialiste de laisser entendre: «nous n’allons pas, pour notre part socialiste, attendre la dixième année pour aller travailler avec Abdoulaye Wade. Tout le monde sait que si nous le voulions, nous y serions depuis le début ou bien avant». Il a affirmé que: «cette position, je peux l’affirmer et partager au niveau de Benno Siggil Senegaal». L’ancien Ministre d’Etat, Ministre des services et affaires présidentielle auprès du Président Abdou Diouf a fait savoir: «il ne s’agit pas de rencontrer et de discuter avec le gouvernement, avec Abdoulaye Wade pour faire des combinaisons pour aller manger à la sauce libérale». Pour lui, cela est totalement exclu, c’est clair, c’est net. Nous voulons discuter des problèmes du pays, des règles du jeu qui doivent gouverner la dévolution démocratique du pouvoir, le code électoral, le fichier électoral, les questions d’importances nationales stratégiques comme celle de la Casamance et celle du devenir de notre pays.
«Il nous parait essentiel dans une démocratie sur les questions de fonds que le pouvoir et l’opposition puissent échanger» a-t-il soutenu avant d’ajouter: «c’est ce qui se fait dans les pays du monde. Je suis toujours étonné d’entendre dire qu’entre le pouvoir et l’opposition autant il ne doit pas y avoir d’entrisme et autant il est indispensable que l’opposition et le pouvoir se parlent, échangent sur les questions d’importances nationales même si on aboutira pas forcément à un accord sur l’ensemble des questions»