Depuis, le 24 janvier 2018 une grève de 72 heures avait été décrétée par les travailleurs des collectivités locales.
Pour rappel, récemment, Sidiya Ndiaye et ses camarades de l’intersyndicale des travailleurs des Collectivités locales ont décidé de passer à la vitesse supérieure pour inciter l’Etat à se pencher sur la situation dans la Fonction publique locale. Pour cela, ils ont initié une grève générale de 72 heures qui avait démarré mercredi.
Un mémorandum pour informer le chef de l’Etat sur leur démarche, mais aussi, leur détermination à aller jusqu’au bout de leur logique a été déposé à la Préfecture, par l'intersyndicale
A en croire le syndicaliste, l’Etat ne leur accorde pas d’importance d’autant plus que l’entente qui avait été scellée entre leur mouvement et le gouvernement n’a pas été respectée par ce dernier. Il en veut pour preuve la non-tenue d’un Conseil interministériel dédié à la question malgré la promesse du Premier ministre.
Ne fermant pas la porte au dialogue, Sidiya Ndiaye et ses camarades se disent cependant déterminés à passer de la «grève d’avertissement », à une étape supérieure, si jamais Mahammad Boun Abdallah Dionne «ne provoque pas le déclic». Car, martèle-t-il, «On ne peut pas accepter l’inacceptable, c’est-à-dire que nos dossiers soient mis sous le coude».
Pour rappel, récemment, Sidiya Ndiaye et ses camarades de l’intersyndicale des travailleurs des Collectivités locales ont décidé de passer à la vitesse supérieure pour inciter l’Etat à se pencher sur la situation dans la Fonction publique locale. Pour cela, ils ont initié une grève générale de 72 heures qui avait démarré mercredi.
Un mémorandum pour informer le chef de l’Etat sur leur démarche, mais aussi, leur détermination à aller jusqu’au bout de leur logique a été déposé à la Préfecture, par l'intersyndicale
A en croire le syndicaliste, l’Etat ne leur accorde pas d’importance d’autant plus que l’entente qui avait été scellée entre leur mouvement et le gouvernement n’a pas été respectée par ce dernier. Il en veut pour preuve la non-tenue d’un Conseil interministériel dédié à la question malgré la promesse du Premier ministre.
Ne fermant pas la porte au dialogue, Sidiya Ndiaye et ses camarades se disent cependant déterminés à passer de la «grève d’avertissement », à une étape supérieure, si jamais Mahammad Boun Abdallah Dionne «ne provoque pas le déclic». Car, martèle-t-il, «On ne peut pas accepter l’inacceptable, c’est-à-dire que nos dossiers soient mis sous le coude».