Interrogé sur les coupures d’électricité qui affectent la climatisation de l’université de la capitale burkinabée, le président français avait répliqué à une étudiante : « Mais moi je ne veux pas m’occuper de l’électricité (…), c’est le travail du président du Burkina Faso! ». Roch Kaboré s’était alors levé avant de quitter la salle remplie d’étudiants amusés. « Du coup il s’en va… Reste là! », lui avait enjoint Emmanuel Macron, avant de lancer à l’assistance : « Du coup il est parti réparer la climatisation! ».
Un trait d’humour qui avait provoqué l’indignation de nombreux internautes et plusieurs responsables politiques en France, jugeant l’attitude d’Emmanuel Macron irrespectueuse...
Mais un trait d’humour visiblement bien accueilli par le président burkinabé, en dépit de la polémique française. « Nous devons nous départir de cette conception de voir toujours le manque de respect. […] Même si nous sommes des chefs d’État, il y a des moments également où l’on peut effectivement plaisanter sur des questions sans avoir besoin de vexer ni de blesser quelqu’un de façon particulière », a-t-il expliqué sur les ondes d’une radio burkinabée samedi 2 décembre.
Un trait d’humour qui avait provoqué l’indignation de nombreux internautes et plusieurs responsables politiques en France, jugeant l’attitude d’Emmanuel Macron irrespectueuse...
Mais un trait d’humour visiblement bien accueilli par le président burkinabé, en dépit de la polémique française. « Nous devons nous départir de cette conception de voir toujours le manque de respect. […] Même si nous sommes des chefs d’État, il y a des moments également où l’on peut effectivement plaisanter sur des questions sans avoir besoin de vexer ni de blesser quelqu’un de façon particulière », a-t-il expliqué sur les ondes d’une radio burkinabée samedi 2 décembre.
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