La situation « délétère » qui règne à la mairie de la capitale du rail (Thiès) commence à excéder plus d’un. C’est le cas de El Hadj Maodo Malick Mbaye, leader du Mouvement Conscience citoyenne (CC), par ailleurs conseiller municipal. Estimant que cette situation est due à l’absence du maire Idrissa Seck, le Président de Conscience citoyenne, donne quarante cinq (45) jours au maire de Thiès, Idrissa Seck, pour se ressaisir ou démissionner.
En effet, depuis quelques temps, des conseillers municipaux se donnent en spectacle en décriant la gestion «gabegique» du premier adjoint au maire, Yankhoba Diattara.
Malick Mbaye rappelle que la situation qui prévaut en ce moment à la mairie de Thiès est insoutenable surtout qu’elle a connu des élus valeureux. Car, rappelle-t-il, depuis l’époque de Senghor, premier maire de la ville de Thiès, en passant par Ousmane Ngom, le Docteur Bathily et Mantoulaye Guène, la capitale du rail a connu de grands hommes, d’éminents élus appréciés pour leur sens élevé de la chose publique et leur amour pour leur cité. Ce qui n’est plus le cas. A en croire le Consultant en Communication, «aujourd’hui, la municipalité est rythmée par des clivages claniques, de combats d’intérêts bassement matériels».
En effet, depuis quelques temps, des conseillers municipaux se donnent en spectacle en décriant la gestion «gabegique» du premier adjoint au maire, Yankhoba Diattara.
Malick Mbaye rappelle que la situation qui prévaut en ce moment à la mairie de Thiès est insoutenable surtout qu’elle a connu des élus valeureux. Car, rappelle-t-il, depuis l’époque de Senghor, premier maire de la ville de Thiès, en passant par Ousmane Ngom, le Docteur Bathily et Mantoulaye Guène, la capitale du rail a connu de grands hommes, d’éminents élus appréciés pour leur sens élevé de la chose publique et leur amour pour leur cité. Ce qui n’est plus le cas. A en croire le Consultant en Communication, «aujourd’hui, la municipalité est rythmée par des clivages claniques, de combats d’intérêts bassement matériels».