Au sein de la coalition Bennoo Siggil Senegaal, les divergences se suivent et ne se ressemblent pas. Si on ne se querelle pas pour une histoire de candidature en 2012, ce sont les jeunes qui se flinguent en voulant chacun imposer leur candidat. C'est dans ce sillage qu'il faut inscrire la passe d'armes entre Aissata Tall Sall du PS et Mbaye Ndiaye de l'APR. Ils vampirisent l'espace médiatique depuis quelques jours. En tout cas ce genre d'attitude doit faire sourire les Cassandres qui annoncent déjà la mort de ce "machin" pompeusement appelé Bennoo Siggil Senegaal. Si c'est de cette manière que le Sénégal va se redresser, le résultat ne sera guère mieux que les promesses du Front pour l'Alternance ou de ces regroupements dont nos hommes politiques ont le secret au gré de leurs accointances politiques..
Ces accusations mutuelles mettent à nu une réalité avec laquelle les leaders de Bennoo Siggil Senegaal devront faire: les conditions d'un éclatement se réunissent de plus en plus. Il est vrai qu'une coalition qui, rassemblait à sa naissance une trentaine de partis et qui, avec le temps, est devenu la terre d'accueil des déçus de l'alternance, n'est pas facile à gérer.
Mais cette sourde querelle entre Ps et Apr vient s'ajouter à l'éternelle querelle de leadership entre Moustapha Niasse et Ousmane Tanor Dieng.Macky Sall qui se targue d'être un poids lourd politique devra méditer cette pique de l'avocate socialiste à la langue fourchue: "Un parti non structuré et qui sur le plan électoral ne sait pas ce qu’il vaut pour n’être jamais parti seul à des élections, ne peut pas faire la leçon à un parti comme le Ps".
Ces accusations mutuelles mettent à nu une réalité avec laquelle les leaders de Bennoo Siggil Senegaal devront faire: les conditions d'un éclatement se réunissent de plus en plus. Il est vrai qu'une coalition qui, rassemblait à sa naissance une trentaine de partis et qui, avec le temps, est devenu la terre d'accueil des déçus de l'alternance, n'est pas facile à gérer.
Mais cette sourde querelle entre Ps et Apr vient s'ajouter à l'éternelle querelle de leadership entre Moustapha Niasse et Ousmane Tanor Dieng.Macky Sall qui se targue d'être un poids lourd politique devra méditer cette pique de l'avocate socialiste à la langue fourchue: "Un parti non structuré et qui sur le plan électoral ne sait pas ce qu’il vaut pour n’être jamais parti seul à des élections, ne peut pas faire la leçon à un parti comme le Ps".
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