Dans ce manifeste, la volonté de révision de l’article 32 du code du travail est revenue à cause de son objectif néfaste. «Les travailleurs sont davantage préoccupés par la dernière mesure qui vient s’abattre sur eux, à savoir la révision du code du travail», déclare le SYNPICS qui explique qu’il autoriserait l’employeur à reconduire à l’infini les contrats à durée déterminée (CDD).
Une telle mesure selon le SYNPICS vise à fragiliser les travailleurs qui sont déjà dans une précarité que nul n’ignore. C’est la raison pour laquelle le SYNPICS rejette avec la dernière énergie toute modification visant à anéantir les emplois alors que les travailleurs du Sénégal sont plus que jamais confrontés à la cherté des denrées de première nécessité, à une pression fiscale insupportable, aux coûts exorbitants des loyers…
C’est dans cette logique que le SYNPICS exige le respect de toutes les dispositions du code du travail et de la Convention collective des journalistes et techniciens de la communication sociale dans toutes les entreprises de presse notamment par l’établissement de contrat en bonne et due forme, le paiement de salaires décents avec en contrepartie des bulletins de salaires.
Par ailleurs, le Syndicat des professionnels et de la communication fustige l’attitude de certains patrons de presse qui foulent au pied les droits des travailleurs en refusant d’appliquer la Convention collective et le respect des droits sociaux.
Une telle mesure selon le SYNPICS vise à fragiliser les travailleurs qui sont déjà dans une précarité que nul n’ignore. C’est la raison pour laquelle le SYNPICS rejette avec la dernière énergie toute modification visant à anéantir les emplois alors que les travailleurs du Sénégal sont plus que jamais confrontés à la cherté des denrées de première nécessité, à une pression fiscale insupportable, aux coûts exorbitants des loyers…
C’est dans cette logique que le SYNPICS exige le respect de toutes les dispositions du code du travail et de la Convention collective des journalistes et techniciens de la communication sociale dans toutes les entreprises de presse notamment par l’établissement de contrat en bonne et due forme, le paiement de salaires décents avec en contrepartie des bulletins de salaires.
Par ailleurs, le Syndicat des professionnels et de la communication fustige l’attitude de certains patrons de presse qui foulent au pied les droits des travailleurs en refusant d’appliquer la Convention collective et le respect des droits sociaux.
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