Abass Sow, porte-parole du jour de l'intersyndicale SYNPICS-CNTS de la RTS est monté au créneau pour dénoncer les manquements et imperfections dans la gestion de l’actuel Directeur Général de la RTS.
« Suite aux difficultés que vivent les travailleurs de la RTS face la gestion nébuleuse et calamiteuse de Racine TALLA à la tête de la RTS depuis 2012 et qui subitement a fait montre d'une volonté notoire de mettre à genoux, la RTS avant son départ », a déclaré Abass Sow.
Depuis quelques temps, dit-il, la situation de la RTS est préoccupante pour ne pas dire alarmante. « Il est de notre devoir nous syndicat de tirer la sonnette d'alarme. Il n'est point besoin de faire le bilan de la gestion de Racine TALLA car elle est jalonnée d'imperfections, de manquements, de troubles, d'une mauvaise vision qui contrastent mal avec ce qu’il montre aux autorités étatiques », a-t-il soutenu.
« La situation à la RTS est triste. Triste parce qu'une épée de Damoclès plane au-dessus de la tête de la totalité des agents. Soit, vous soutenez le combat de Racine Talla visant à tout faire pour que ce syndicat soit vaincu, soit vous ne soutenez pas on vous considère comme l'ennemi du directeur Général », a ajouté le porte-parole du jour de l'intersyndicale SYNPICS-CNTS de la RTS.
Selon le SYNPICS section RTS, le danger plane partout à la RTS, « les agents se regardent en chiens de faïence, deux camps se sont opposés le jour de l'élection. Celui des Pro-Racine et ceux qui dénoncent les méthodes dictatoriales de M.TALLA ».
Les syndicalistes interpellent l'opinion nationale et internationale sur la situation de la RTS. « A l'heure actuelle on a constaté que le DG n'a aucune volonté de finaliser l’Accord d’entreprise. Son seul objectif est de piller la RTS avant de partir », ont-ils déclaré.
D’après les syndicalistes, le Chef de I ‘Etat Macky SALL a consenti d’énormes investissements pour mettre la RTS aux normes édictées par l’UIT (union internationale des télécommunications). Selon eux, plus de 13 milliards de francs CFA sont injectés dans l’entreprise. A l’arrivée, « le choix du matériel comparé aux montants investis laisse à désirer pour preuve le car de transmission acquis dans le cadre du projet HD de 2018 a fait l’objet de plusieurs aller-retour chez le concessionnaire et reste toujours inexploitable », ont-ils fait savoir.
Les syndicalistes remercient le Président de la République pour l’ensemble des actes posés pour rehausser l'image de la RTS et mettre les travailleurs dans les meilleurs conditions. « Mais malheureusement la RTS est toujours à la traine malgré des ressources humaines de qualité ».
« C’est à la RTS que des caméras de surveillance installées à hauteur de 20 millions n'arrivent pas à capter la plus petite image d'un voleur de matériel pour mettre fin aux vols multiples enregistrés sous l'ère Racine TALLA », ont-ils dit.
« Des recrutements et des nominations sont faits en fonction des affinités, du copinage et du pistonnage »
Abass Sow et Cie invitent la protection civile à visiter la RTS pour « libérer l'entreprise dont toutes les issues de secours sont fermées hermétiquement pour des raisons d’ordre mystique et non sécuritaire dans un contexte de pandémie où l'aération des lieux est une forte recommandation des autorités sanitaires pour arrêter la propagation du virus qui malheureusement n'a pas épargné la RTS ».
D’après les syndicalistes, le DG de la RTS a à sa disposition « trois véhicules de type 4X4 aux frais de la RTS, un de 80 millions de Francs FA pour lui, un autre de 30 millions pour une de ses épouses et un véhicule de 40 millions pour ces enfants ».
« Il a le conseil d'Administration à sa solde pour faire passer toutes les décisions avec la tenue irrégulière de ces instances. La direction générale doit plus de 100 millions à l’lPM et doit plus de 130 millions à la Coopérative des milliards à l'lPRES », ont-ils poursuivi.
Ils indiquent que Racine TALLA « refuse de verser plus de 40 millions à la Mutuelle Sociale de la RTS alors que ces sommes sont retenues à la source, et devraient être versées à leurs ayant droits avant la tabaski ».
« Des recrutements et des nominations sont faits en fonction des affinités, du copinage et du pistonnage parfois même basés sur la promotion canapé », ont-ils révélé.
L’Intersyndicale SYNPICS-CNTS déplore le départ de certains journalistes à la RTS. « Rien qu'à la rédaction du journal télévisé, nous avons enregistré plus de 20 départs de journalistes sans compter, les agents mis au frigo. Pour la radio, hier seulement nous avons reçu des sanctions de journalistes talentueux dont le seul tort a été d'assister à la dernière assemblée du 14 juillet 2021 ».
Selon les syndicalistes, la situation qui plombe actuellement la RTS risque de dégénérer à tout moment. « La Révolution qui a secoué certains pays du mode a démarré par une simple frustration d'honnêtes citoyens, elle peut ne pas provenir des acteurs du champ politique, mais si on n'y prend pas garde, le danger peut venir de la RTS, car le ras-le-bol est généralisé, la frustration est au paroxysme à la Radiodiffusion Télévision Sénégalaise », ont-ils averti.
L’Intersyndicale SYNPICS-CNTS compte dérouler d’autres plans d’action dans les jours à venir.
« Suite aux difficultés que vivent les travailleurs de la RTS face la gestion nébuleuse et calamiteuse de Racine TALLA à la tête de la RTS depuis 2012 et qui subitement a fait montre d'une volonté notoire de mettre à genoux, la RTS avant son départ », a déclaré Abass Sow.
Depuis quelques temps, dit-il, la situation de la RTS est préoccupante pour ne pas dire alarmante. « Il est de notre devoir nous syndicat de tirer la sonnette d'alarme. Il n'est point besoin de faire le bilan de la gestion de Racine TALLA car elle est jalonnée d'imperfections, de manquements, de troubles, d'une mauvaise vision qui contrastent mal avec ce qu’il montre aux autorités étatiques », a-t-il soutenu.
« La situation à la RTS est triste. Triste parce qu'une épée de Damoclès plane au-dessus de la tête de la totalité des agents. Soit, vous soutenez le combat de Racine Talla visant à tout faire pour que ce syndicat soit vaincu, soit vous ne soutenez pas on vous considère comme l'ennemi du directeur Général », a ajouté le porte-parole du jour de l'intersyndicale SYNPICS-CNTS de la RTS.
Selon le SYNPICS section RTS, le danger plane partout à la RTS, « les agents se regardent en chiens de faïence, deux camps se sont opposés le jour de l'élection. Celui des Pro-Racine et ceux qui dénoncent les méthodes dictatoriales de M.TALLA ».
Les syndicalistes interpellent l'opinion nationale et internationale sur la situation de la RTS. « A l'heure actuelle on a constaté que le DG n'a aucune volonté de finaliser l’Accord d’entreprise. Son seul objectif est de piller la RTS avant de partir », ont-ils déclaré.
D’après les syndicalistes, le Chef de I ‘Etat Macky SALL a consenti d’énormes investissements pour mettre la RTS aux normes édictées par l’UIT (union internationale des télécommunications). Selon eux, plus de 13 milliards de francs CFA sont injectés dans l’entreprise. A l’arrivée, « le choix du matériel comparé aux montants investis laisse à désirer pour preuve le car de transmission acquis dans le cadre du projet HD de 2018 a fait l’objet de plusieurs aller-retour chez le concessionnaire et reste toujours inexploitable », ont-ils fait savoir.
Les syndicalistes remercient le Président de la République pour l’ensemble des actes posés pour rehausser l'image de la RTS et mettre les travailleurs dans les meilleurs conditions. « Mais malheureusement la RTS est toujours à la traine malgré des ressources humaines de qualité ».
« C’est à la RTS que des caméras de surveillance installées à hauteur de 20 millions n'arrivent pas à capter la plus petite image d'un voleur de matériel pour mettre fin aux vols multiples enregistrés sous l'ère Racine TALLA », ont-ils dit.
« Des recrutements et des nominations sont faits en fonction des affinités, du copinage et du pistonnage »
Abass Sow et Cie invitent la protection civile à visiter la RTS pour « libérer l'entreprise dont toutes les issues de secours sont fermées hermétiquement pour des raisons d’ordre mystique et non sécuritaire dans un contexte de pandémie où l'aération des lieux est une forte recommandation des autorités sanitaires pour arrêter la propagation du virus qui malheureusement n'a pas épargné la RTS ».
D’après les syndicalistes, le DG de la RTS a à sa disposition « trois véhicules de type 4X4 aux frais de la RTS, un de 80 millions de Francs FA pour lui, un autre de 30 millions pour une de ses épouses et un véhicule de 40 millions pour ces enfants ».
« Il a le conseil d'Administration à sa solde pour faire passer toutes les décisions avec la tenue irrégulière de ces instances. La direction générale doit plus de 100 millions à l’lPM et doit plus de 130 millions à la Coopérative des milliards à l'lPRES », ont-ils poursuivi.
Ils indiquent que Racine TALLA « refuse de verser plus de 40 millions à la Mutuelle Sociale de la RTS alors que ces sommes sont retenues à la source, et devraient être versées à leurs ayant droits avant la tabaski ».
« Des recrutements et des nominations sont faits en fonction des affinités, du copinage et du pistonnage parfois même basés sur la promotion canapé », ont-ils révélé.
L’Intersyndicale SYNPICS-CNTS déplore le départ de certains journalistes à la RTS. « Rien qu'à la rédaction du journal télévisé, nous avons enregistré plus de 20 départs de journalistes sans compter, les agents mis au frigo. Pour la radio, hier seulement nous avons reçu des sanctions de journalistes talentueux dont le seul tort a été d'assister à la dernière assemblée du 14 juillet 2021 ».
Selon les syndicalistes, la situation qui plombe actuellement la RTS risque de dégénérer à tout moment. « La Révolution qui a secoué certains pays du mode a démarré par une simple frustration d'honnêtes citoyens, elle peut ne pas provenir des acteurs du champ politique, mais si on n'y prend pas garde, le danger peut venir de la RTS, car le ras-le-bol est généralisé, la frustration est au paroxysme à la Radiodiffusion Télévision Sénégalaise », ont-ils averti.
L’Intersyndicale SYNPICS-CNTS compte dérouler d’autres plans d’action dans les jours à venir.