Le Sénégal a besoin de 1.500 milliards de francs CFA pour atteindre son objectif d’autosuffisance en riz d’ici à 2030, a déclaré le coordonnateur du Programme de développement de la chaîne de valeur riz (PDCVR), Waly Diouf.
Faisant face à la presse à Thiès, il a affirmé cette estimation a été faite dans le cadre de la Coalition pour le développement de la riziculture en Afrique, dont le Sénégal est membre.
Les besoins financiers du Sénégal pour l’atteinte de l’autosuffisance en riz étaient estimés à 424,4 milliards de FCFA entre 2014 et 2017, informe l'APS.
« En 2019, quand le président de la République a demandé l’évaluation du Programme national d’autosuffisance en riz. Nous nous sommes rendu compte qu’en réalité entre 2014 et 2019, c’est plutôt 205 milliards qui ont été mobilisés », a rappelé M. Diouf.
Malgré le ‘’gap’’, les ressources injectées avaient permis de passer d’une production de 400.000 tonnes par an à 1,3 million de tonnes par an, a indiqué le coordonnateur du PDCVR.
Toutefois, il a averti que « si les 1.500 milliards ne sont pas mobilisé d’ici à 2030, la population du Sénégal va augmenter, la quantité de riz consommée par les familles va augmenter, et il y a de fortes probabilités que la somme nécessaire pour aller vers l’autosuffisance soit plus élevée ».
Concernant les causes des lenteurs pour l’atteinte de l’autosuffisance en riz au Sénégal, Waly Diouf a indexé « la crise mondiale ».
Faisant face à la presse à Thiès, il a affirmé cette estimation a été faite dans le cadre de la Coalition pour le développement de la riziculture en Afrique, dont le Sénégal est membre.
Les besoins financiers du Sénégal pour l’atteinte de l’autosuffisance en riz étaient estimés à 424,4 milliards de FCFA entre 2014 et 2017, informe l'APS.
« En 2019, quand le président de la République a demandé l’évaluation du Programme national d’autosuffisance en riz. Nous nous sommes rendu compte qu’en réalité entre 2014 et 2019, c’est plutôt 205 milliards qui ont été mobilisés », a rappelé M. Diouf.
Malgré le ‘’gap’’, les ressources injectées avaient permis de passer d’une production de 400.000 tonnes par an à 1,3 million de tonnes par an, a indiqué le coordonnateur du PDCVR.
Toutefois, il a averti que « si les 1.500 milliards ne sont pas mobilisé d’ici à 2030, la population du Sénégal va augmenter, la quantité de riz consommée par les familles va augmenter, et il y a de fortes probabilités que la somme nécessaire pour aller vers l’autosuffisance soit plus élevée ».
Concernant les causes des lenteurs pour l’atteinte de l’autosuffisance en riz au Sénégal, Waly Diouf a indexé « la crise mondiale ».