Le secrétaire général de l’Alliance de progrès a déclaré ce samedi que le Sénégal est un pays en danger. La situation est d'autant plus préoccupante, selon lui parce que ceux qui le dirigent semblent bien loin des préoccupations des populations.
"Le Sénégal est en danger (il le répète)", a campé, au micro de la Rfm (privée) Moustapha Niass devant de nombreux militants de Dakar avant d'indiquer qu'il ne peut pas se faire sans certaines conditions.
"Le Sénégal ne peut pas être fait si on ne ramène pas dans l'espace des libertés, la loi et le droit", a noté l'ancien Premier ministre. Selon lui, "aucun peuple ne peut s'épanouir s'il ne bénéficie pas des libertés que le droit et le droit lui offrent (...)".
Il a fait remarquer qu'aujourd'hui, en Afrique de l'ouest, c'est le Sénégal qui bat le record des jeunes. "Il faut arrêter ça en créant des emplois", a-t-il recommandé en donnant des gages.
"On ne peut pas créer des emplois si la corruption fait disparaitre les ressources publiques, si les ressources publiques vont dans les poches de voleurs invétérés, de criminels économiques (...)", a développé Niass qui n'a pas manqué de rappeler les promesses non tenues du Pouvoir.
"Il avait été promis qu'en 2010, il n'y aurait plus de délestage. Nous sommes en 2011et là on nous dit que c'est en 2014 que les délestages prendront fin", a-t-il relevé avant de s'interroger pourquoi la date a été reportée en 2014.
Selon le chef de file de l'AFP, il faurt assainir l'espace de l'énergie. "Il faut remettre le courant à la SENELEC et à ceux qui dirigent la SENELEC. Le ministre de l'énergie n'a rien à avoir dans le fonctionnement de la SENELEC", a-t-il détaillé.
"Le Sénégal est en danger (il le répète)", a campé, au micro de la Rfm (privée) Moustapha Niass devant de nombreux militants de Dakar avant d'indiquer qu'il ne peut pas se faire sans certaines conditions.
"Le Sénégal ne peut pas être fait si on ne ramène pas dans l'espace des libertés, la loi et le droit", a noté l'ancien Premier ministre. Selon lui, "aucun peuple ne peut s'épanouir s'il ne bénéficie pas des libertés que le droit et le droit lui offrent (...)".
Il a fait remarquer qu'aujourd'hui, en Afrique de l'ouest, c'est le Sénégal qui bat le record des jeunes. "Il faut arrêter ça en créant des emplois", a-t-il recommandé en donnant des gages.
"On ne peut pas créer des emplois si la corruption fait disparaitre les ressources publiques, si les ressources publiques vont dans les poches de voleurs invétérés, de criminels économiques (...)", a développé Niass qui n'a pas manqué de rappeler les promesses non tenues du Pouvoir.
"Il avait été promis qu'en 2010, il n'y aurait plus de délestage. Nous sommes en 2011et là on nous dit que c'est en 2014 que les délestages prendront fin", a-t-il relevé avant de s'interroger pourquoi la date a été reportée en 2014.
Selon le chef de file de l'AFP, il faurt assainir l'espace de l'énergie. "Il faut remettre le courant à la SENELEC et à ceux qui dirigent la SENELEC. Le ministre de l'énergie n'a rien à avoir dans le fonctionnement de la SENELEC", a-t-il détaillé.
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