Dès Jeudi, on ne verra plus de mendiants dans les rues. Au sortir du conseil interministériel de lutte contre la traite des personnes, le Premier ministre, Souleymane Ndéné Ndiaye l'a annoncé.
«Je voudrais plutôt, que d’engager tout de suite les forces de police contre ces personnes qui sont dans les rues, leur dire que la police passera leur faire une mise en demeure pour que dès demain (jeudi) ils devront quitter ces endroits où ils ont l’habitude d’attendre les automobilistes pour recevoir l’aumône ou la charité», a indiqué le Premier ministre. Toutefois, les mendiants peuvent se retrouver dans les lieux de culte pour avoir de la charité. «Il n’est pas interdit pour les "talibés" ou toute personne d’aller dans les lieux de culte pour y recevoir de l’aumône cela n’est pas assimiler à de la mendicité», a-t-il précisé.
Selon le maire de Guinguinéo, cette mesure a été prise pour être en conformité avec ses partenaires. «Je pense que si nous en sommes arrivés là, c’est parce que le Sénégal est sous la menace de ses partenaires qui estiment que nous ne luttons pas de façon efficace contre la traite des personnes», a expliqué le Premier ministre, Souleymane Ndiaye pour qui cette décision permet au Sénégal d’être, également, en conformité avec la Convention de Palerme que notre pays a signée.
Pour accompagner cette lutte, les autorités du Sénégal ont décidé la mise en place d’une cellule qui sera dirigée par un magistrat du parquet. Son rôle, selon le Premier ministre est de renforcer la lutte car la traite de personnes qui est un délit dont les éléments constitutifs sont définis par la convention de Palerme que le Sénégal a ratifié.
«Je voudrais plutôt, que d’engager tout de suite les forces de police contre ces personnes qui sont dans les rues, leur dire que la police passera leur faire une mise en demeure pour que dès demain (jeudi) ils devront quitter ces endroits où ils ont l’habitude d’attendre les automobilistes pour recevoir l’aumône ou la charité», a indiqué le Premier ministre. Toutefois, les mendiants peuvent se retrouver dans les lieux de culte pour avoir de la charité. «Il n’est pas interdit pour les "talibés" ou toute personne d’aller dans les lieux de culte pour y recevoir de l’aumône cela n’est pas assimiler à de la mendicité», a-t-il précisé.
Selon le maire de Guinguinéo, cette mesure a été prise pour être en conformité avec ses partenaires. «Je pense que si nous en sommes arrivés là, c’est parce que le Sénégal est sous la menace de ses partenaires qui estiment que nous ne luttons pas de façon efficace contre la traite des personnes», a expliqué le Premier ministre, Souleymane Ndiaye pour qui cette décision permet au Sénégal d’être, également, en conformité avec la Convention de Palerme que notre pays a signée.
Pour accompagner cette lutte, les autorités du Sénégal ont décidé la mise en place d’une cellule qui sera dirigée par un magistrat du parquet. Son rôle, selon le Premier ministre est de renforcer la lutte car la traite de personnes qui est un délit dont les éléments constitutifs sont définis par la convention de Palerme que le Sénégal a ratifié.