La SSORL va organiser son 31e congrès du 07 décembre au 10 décembre au Cap Skiring. Une rencontre qui se tient de façon conjointe avec le 3e congrès d'ORL de Casamance. Au moins 200 participants sont attendus à Ziguinchor. Ils viendront d'origines diverses, d'Afrique subsaharienne, de Suisse et de France.
« La société sénégalaise d'ORL est née en 1992 et c'est l'aîné de toutes les sociétés sa vantes médicales du pays. Elle va organiser un congrès conjoint qui rassemble tous les ORL du Sénégal et qui coïncide avec des Assises d'ORL de Casamance», a déclaré le Pr Evelyne Siga Diome, présidente du comité d'organisation SSORL, par ailleurs fondatrice des rencontres d'ORL en Casamance.
Selon Pr Evelyne Siga Diome, ce Congrès va débattre sur des thèmes qui porteront, selon le Pr Diome sur les tumeurs ORL, les infections ORL Il s'agira aussi de parler de radiologie ORL, savoir lire un scanner, une IRM, rechercher des informations thérapeutiques mais aussi aux vertiges.
Elle déplore le fait que seulement 60 spécialistes en ORL son dénombrés au Sénégal, «Le vertige qui est une sensation trompeuse de mouvement du patient par rapport à son environnement ou de l'environnement par rapport au patient, c'est une pathologie de l'oreille interne et l'ORL prend en charge toutes les pathologies médico chirurgicales de la gorge, du nez et de l'oreille », a-t-elle expliqué.
« Le Sénégal ne compte que 60 spécialistes. Mais, il y a un effort qui est fait », selon la présidente du comité d'organisation de la Société sénégalaise d'ORL, «Nous sommes une soixantaine d'ORL dans tout le pays, il y a des régions qui n'ont pas d'ORL comme Matam, Kaffrine, Tamba. Et cela cause des problèmes de déplacement des patients. Des patients qui ont des pathologies avancées qui arrivent à des stades tardifs et difficiles à traiter», a-t-elle dit. Au niveau du plateau technique, il y a beau- coup d'efforts qui restent à faire d'après Evelyne Siga Diome. "Tous les hôpitaux ne sont pas munis encore de microscope, de mate- riel de présage en ce qui concerne l'otologie mais il y a de gros progrès qui ont été faits", a-t-elle souligné.
Toutefois le Pr Diome lance un appel aux autorités pour qu'elles appuient fortement ces moments de formation. Nous aider, c'est motiver de jeunes médecins à se spécialiser et à susciter des carrières qui vont Combler les problèmes de la communauté ».
« Les vertiges sont des symptômes subjectifs fréquemment rencontrés dans une consultation généraliste. Ils sont souvent dus à un trouble de l'équilibre, qui est assuré par le système vestibulaire, une partie de l'oreille interne. En effet, 80% des vertiges sont causé par un problème d'oreille interne. Cependant, il est important de noter que tous les vertiges ne sont pas d'origine d'ORL », a fait savoir le Pr Ciré Ndiaye.
«La consultation en ORL souligne qu’ en moyenne, on peut en dénombrer à l'hôpital Fann 80 malades par jour mais 5 à 10 patients se plaignent des vertiges. Ce nombre n'est pas exhaustif. Beaucoup de patients qui souffrent de cette pathologie ne viennent pas en ORL», a-t-il fait savoir. Selon le Pr Ndiaye 80% des vertiges sont d'origine d'ORL. Ces patients peuvent se retrouver en neurologie ou en cardiologie, d'où l'intérêt de ce congrès pour que les patients soient orientés dès le début», a-t-il dit.
« La société sénégalaise d'ORL est née en 1992 et c'est l'aîné de toutes les sociétés sa vantes médicales du pays. Elle va organiser un congrès conjoint qui rassemble tous les ORL du Sénégal et qui coïncide avec des Assises d'ORL de Casamance», a déclaré le Pr Evelyne Siga Diome, présidente du comité d'organisation SSORL, par ailleurs fondatrice des rencontres d'ORL en Casamance.
Selon Pr Evelyne Siga Diome, ce Congrès va débattre sur des thèmes qui porteront, selon le Pr Diome sur les tumeurs ORL, les infections ORL Il s'agira aussi de parler de radiologie ORL, savoir lire un scanner, une IRM, rechercher des informations thérapeutiques mais aussi aux vertiges.
Elle déplore le fait que seulement 60 spécialistes en ORL son dénombrés au Sénégal, «Le vertige qui est une sensation trompeuse de mouvement du patient par rapport à son environnement ou de l'environnement par rapport au patient, c'est une pathologie de l'oreille interne et l'ORL prend en charge toutes les pathologies médico chirurgicales de la gorge, du nez et de l'oreille », a-t-elle expliqué.
« Le Sénégal ne compte que 60 spécialistes. Mais, il y a un effort qui est fait », selon la présidente du comité d'organisation de la Société sénégalaise d'ORL, «Nous sommes une soixantaine d'ORL dans tout le pays, il y a des régions qui n'ont pas d'ORL comme Matam, Kaffrine, Tamba. Et cela cause des problèmes de déplacement des patients. Des patients qui ont des pathologies avancées qui arrivent à des stades tardifs et difficiles à traiter», a-t-elle dit. Au niveau du plateau technique, il y a beau- coup d'efforts qui restent à faire d'après Evelyne Siga Diome. "Tous les hôpitaux ne sont pas munis encore de microscope, de mate- riel de présage en ce qui concerne l'otologie mais il y a de gros progrès qui ont été faits", a-t-elle souligné.
Toutefois le Pr Diome lance un appel aux autorités pour qu'elles appuient fortement ces moments de formation. Nous aider, c'est motiver de jeunes médecins à se spécialiser et à susciter des carrières qui vont Combler les problèmes de la communauté ».
« Les vertiges sont des symptômes subjectifs fréquemment rencontrés dans une consultation généraliste. Ils sont souvent dus à un trouble de l'équilibre, qui est assuré par le système vestibulaire, une partie de l'oreille interne. En effet, 80% des vertiges sont causé par un problème d'oreille interne. Cependant, il est important de noter que tous les vertiges ne sont pas d'origine d'ORL », a fait savoir le Pr Ciré Ndiaye.
«La consultation en ORL souligne qu’ en moyenne, on peut en dénombrer à l'hôpital Fann 80 malades par jour mais 5 à 10 patients se plaignent des vertiges. Ce nombre n'est pas exhaustif. Beaucoup de patients qui souffrent de cette pathologie ne viennent pas en ORL», a-t-il fait savoir. Selon le Pr Ndiaye 80% des vertiges sont d'origine d'ORL. Ces patients peuvent se retrouver en neurologie ou en cardiologie, d'où l'intérêt de ce congrès pour que les patients soient orientés dès le début», a-t-il dit.