Aïssatou Sophie GLADIMA, Ministre du Pétrole et des Energies, a déclaré jeudi à l’Assemblée nationale lors du vote du projet de son budget estimé à 231 953 586 343 FCFA en crédits de paiement, que la première production de pétrole est attendue en 2023. Parlant du projet Sangomar (ex SNE), elle a souligné que la phase 1 est exécutée à 37,9%, au troisième trimestre de l'année 2021. La Ministre est aussi revenue sur la pollution et des impacts de la centrale à charbon.
« Relativement au projet Grande Tortue « Ahmeyim » (GTA), le niveau d'avancement de la construction des infrastructures était de 66%, à la fin du mois de septembre 2021, pour une cible de 65%, et le démarrage de la production du gaz de GTA a été reporté, en 2023, à cause des impacts de la pandémie de la Covid-19. Pour le projet Yaakar-Téranga, les études d'évaluation du champ se poursuivent pour une compréhension plus accentuée du système pétrolier, afin de mieux apprécier les quantités en place », a indiqué Aïssatou Sophie GLADIMA.
Selon elle, « les travaux sur le concept de développement de la phase 1 sont en cours. Ladite phase sera dédiée à la fourniture locale de gaz domestique, dans le cadre de la mise en ouvre de la stratégie Gas-to-power. Quant au projet Sangomar (ex SNE), la phase 1 est exécutée à 37,9%, au troisième trimestre de l'année 2021. La première production de pétrole est attendue, en 2023. Pour l'aval du sous-secteur des hydrocarbures, la ministre, le programme de modernisation et d'extension des unités de la SAR, d'un coût de 70 millions d'euros (soit environ 46 milliards F CFA) est en cours d'exécution avec l'appui de l'Etat, à travers la marge de soutien à l'activité de raffinage ».
La ministre Sophie Gladima Siby est revenue sur la pollution et des impacts de la centrale à charbon. « La central à charbon on avait promis qu’elle allait être transformé en gaz. Maintenant nous voulons la mettre comme central à gaz. Parce qu’aujourd’hui on parle d’énergie propre. Mais nous nous sommes solidaires pour la lutte contre les changements climatique. Certes on pollue avec la centrale de charbon mais on en a besoin. La pollution de cette centrale elle est tellement minime par rapport aux autre pays qui continuent d’utiliser leur central à charbon. Aujourd’hui le Sénégal ne pollue qu’a 1% et les autres pays pollue à 75%. Je ne vois pas pourquoi on ne peut pas utiliser cette central à charbon », a-t-elle noté.
Aïssatou Sophie GLADIMA est aussi revenue sur le prix de l’électricité. « Quant au prix de l’électricité, il n'est pas fixé par l’État du Sénégal. Les pays qui veulent arrêter l’industrialisation des produits fossiles ont causé beaucoup plus de dommages que le Sénégal ne pourra jamais en causer. C’est la croix et la bannière pour accéder à une certaine souveraineté donc nous sommes dans une dynamique de trouver des fonds et financements pour éventuellement aller dans le sens de cette décision », a-t-elle précisé.
« Relativement au projet Grande Tortue « Ahmeyim » (GTA), le niveau d'avancement de la construction des infrastructures était de 66%, à la fin du mois de septembre 2021, pour une cible de 65%, et le démarrage de la production du gaz de GTA a été reporté, en 2023, à cause des impacts de la pandémie de la Covid-19. Pour le projet Yaakar-Téranga, les études d'évaluation du champ se poursuivent pour une compréhension plus accentuée du système pétrolier, afin de mieux apprécier les quantités en place », a indiqué Aïssatou Sophie GLADIMA.
Selon elle, « les travaux sur le concept de développement de la phase 1 sont en cours. Ladite phase sera dédiée à la fourniture locale de gaz domestique, dans le cadre de la mise en ouvre de la stratégie Gas-to-power. Quant au projet Sangomar (ex SNE), la phase 1 est exécutée à 37,9%, au troisième trimestre de l'année 2021. La première production de pétrole est attendue, en 2023. Pour l'aval du sous-secteur des hydrocarbures, la ministre, le programme de modernisation et d'extension des unités de la SAR, d'un coût de 70 millions d'euros (soit environ 46 milliards F CFA) est en cours d'exécution avec l'appui de l'Etat, à travers la marge de soutien à l'activité de raffinage ».
La ministre Sophie Gladima Siby est revenue sur la pollution et des impacts de la centrale à charbon. « La central à charbon on avait promis qu’elle allait être transformé en gaz. Maintenant nous voulons la mettre comme central à gaz. Parce qu’aujourd’hui on parle d’énergie propre. Mais nous nous sommes solidaires pour la lutte contre les changements climatique. Certes on pollue avec la centrale de charbon mais on en a besoin. La pollution de cette centrale elle est tellement minime par rapport aux autre pays qui continuent d’utiliser leur central à charbon. Aujourd’hui le Sénégal ne pollue qu’a 1% et les autres pays pollue à 75%. Je ne vois pas pourquoi on ne peut pas utiliser cette central à charbon », a-t-elle noté.
Aïssatou Sophie GLADIMA est aussi revenue sur le prix de l’électricité. « Quant au prix de l’électricité, il n'est pas fixé par l’État du Sénégal. Les pays qui veulent arrêter l’industrialisation des produits fossiles ont causé beaucoup plus de dommages que le Sénégal ne pourra jamais en causer. C’est la croix et la bannière pour accéder à une certaine souveraineté donc nous sommes dans une dynamique de trouver des fonds et financements pour éventuellement aller dans le sens de cette décision », a-t-elle précisé.