Dans un communiqué, le bureau exécutif national exhorte les usagers du service public de la justice à prendre leurs dispositions, les 29 et 30 novembre 2023. «Le Sytjust exercera son droit de grève en réaction à la posture de sabotage adoptée par le ministre de la Fonction publique à l’encontre des efforts consentis par le Garde des Sceaux, ministre de la Justice qui s’est inscrit dans une dynamique de faire cesser le préjudice subi par les travailleurs de la justice et le désordre statutaire qui commence à gagner le corps des greffiers», indique le communiqué.
Les syndicalistes soutiennent que « cette situation difficile découle de la falsification du projet de décret portant statut particulier du cadre des fonctionnaires de la justice, adopté par le Conseil des ministres le 25 juillet 2018, perpétré par des juristes de l’entourage du ministre de la Fonction publique ».
Le même document stipule que, « le ministre de la Fonction publique, qui affiche clairement un manque d’autorité vis-à-vis de certains de ses collaborateurs, est l’unique responsable de la crise et de la perte de sérénité qui sont en train de faire leur lit dans le service public de la justice », dénoncent-ils.
Les grévistes indiquent que « face à cette attitude du ministre de la Fonction publique, il est urgent que le président de la République, garant du fonctionnement des institutions, reprenne les choses en main pour que le service public de la justice soit exempt de dysfonctionnement ».
Les syndicalistes soutiennent que « cette situation difficile découle de la falsification du projet de décret portant statut particulier du cadre des fonctionnaires de la justice, adopté par le Conseil des ministres le 25 juillet 2018, perpétré par des juristes de l’entourage du ministre de la Fonction publique ».
Le même document stipule que, « le ministre de la Fonction publique, qui affiche clairement un manque d’autorité vis-à-vis de certains de ses collaborateurs, est l’unique responsable de la crise et de la perte de sérénité qui sont en train de faire leur lit dans le service public de la justice », dénoncent-ils.
Les grévistes indiquent que « face à cette attitude du ministre de la Fonction publique, il est urgent que le président de la République, garant du fonctionnement des institutions, reprenne les choses en main pour que le service public de la justice soit exempt de dysfonctionnement ».
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