Plus la présidentielle de février 2012 s’approche, Idrissa Seck multiplie les assauts contre Abdoulaye Wade. Il a encore ouvert les hostilités hier, jeudi à Thiès. Le président du parti Rewmi et maire de Thiès a estimé que «tu ne peux pas être président à l’âge de 90 ans». Pour lui, «c’est une question de logique car c’est le cycle Wade qui arrive lui-même à sa fin». Et de décliner les options qui s’offrent au président de la République qui ne sont pas, selon lui nombreuses: «son cycle va se fermer dans la sagesse ou la pression de la rue et des amis du Sénégal à l’extérieur».
L’ancien Premier ministre a déclaré que «les pressions que Abdoulaye Wade reçoit sur les plans national et international vont se poursuivre». Et d’ajouter : «je suis certain qu’il reçoit des pressions même au niveau de sa propre conscience».
Idrissa Seck a encore décoché ces flèches lorsqu’il recevait des responsables de la région de Matam venus grossir les rangs de sa coalition et de son parti. Ils viennent de l’Union pour le Renouveau Démocratique (URD), du PDS et d’autres partis politiques.
L’ancien Premier ministre a déclaré que «les pressions que Abdoulaye Wade reçoit sur les plans national et international vont se poursuivre». Et d’ajouter : «je suis certain qu’il reçoit des pressions même au niveau de sa propre conscience».
Idrissa Seck a encore décoché ces flèches lorsqu’il recevait des responsables de la région de Matam venus grossir les rangs de sa coalition et de son parti. Ils viennent de l’Union pour le Renouveau Démocratique (URD), du PDS et d’autres partis politiques.
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