Monsieur ATEPA, peut-on continuer de militer dans un parti ou le dirigisme du chef ne laisse pas à certains militants l’opportunité de suivre un parcours politique salutaire ?
Y’a pas de démocratie au niveau les partis : toujours les mêmes personnes (
Task force du parti) et la même démarche pour répondre aux attentes des populations.
L’innovation n’est pas au rendez-vous des discussions internes et externes, les partis ne font plus de formations et ils n’ont plus d’écoles fonctionnelles.
Les jeunes conscients vont ils continuer à faire la queue au niveau de ces associations ?
Les militants ambitieux vont-ils continuer à supporter le problème de dirigisme du chef de parti ?
Les rôles au niveau des partis ne sont distribués ou redistribués que lors des élections et avec une stratégie de parachutage bien murie et souvent utilitariste. La démarche est souvent très politicienne comme c’est le cas actuellement, des partis non structurés (APR), deux coordonnateurs reconnus dans une même localité (comme actuellement PS a Diourbel), des leaders en perte d’ambition (AFP) et des coordonnateurs très contestés (PDS). A cela s’ajoute la culture ou encore l’acception de la violence. Les militants font souvent recours à la violence lors de leurs manifestations, violence qui souvent les éloignent des idéaux du parti pour leurs faire arborer la robe du clientélisme ou du suivisme aveugle.
Les petites formations ne grenouillent pas ici et la mais tout au contraire, c’est des gens qui ont « OSER partir seul ». Parce que certainement, ils ont été étroits dans leurs formations politiques ou encore qu’ils sont très ambitieux : c’est ca la démocratie. En démocratie on ne doit pas être jaloux et on ne doit pas non plus négliger les minorités. Une minorité aujourd’hui peut une majorité demain et l’inverse.
Nous sommes dans un monde ouvert et cette ouverture nous pousse souvent à Oser faire certaine choses et à Oser prendre certaines décisions. Vous avez Oser écrire « Oser Douze propositions pour un Sénégal Emergent » et qui selon moi est une réussite. Le livre est intéressant, il édifie l’ambitieux et peut lui permettre de trouver certaines pistes ou un point de départ quant il sera NOW.
En regardant bien ces schémas, nous devons certainement nous poser des questions pas n’importent lesquelles, questions qui nous permettront certainement de comprendre pourquoi il existe autant de partis.
On peut se poser les questions suivantes :
Quels ceux qui ont eu de reconnaissance de parti ces dernières années ?
Sont-ils des militants des grands partis traditionnels ?
Sont-ils des marabouts ?
Sont-ils des jeunes ou des femmes?
Les réponses à ces questions nous permettrons d’aborder plus amplement la question de la rationalisation, de l’organisation des partis et de leurs financements.
N’empêche que nous pouvons, avec la lecture médiatique accumulée et les débats radiotélévisés, dire que l’absence d’arguments, de projets et de vision à défendre, est la conséquence de l’une et de l’autre (du mécontentement de certains et de la position politique des autres).
Peut-on avoir un débat sincère et non orienté entre l’APR, REWMI et le PDS ?
Peut-on avoir un débat sincère et non orienté entre l’AFP et le PS ?
Peut-on avoir un débat sincère et non orienté entre le PIT, l’AJ et la LD ?
Dans presque tous les débats de 2 ou 4 personnes, nous avons soit PDS et APR ; soit APR et Rewmi ; soit PDS, APR, REWMI et société civile ;
Mais comme on est en démocratie, nous pouvons toujours débattre, nous pouvons toujours donner notre point de vue et notre appréciation en général personnelle.
Encore et encore faudrait-il que cette démocratie nous fait sortir la tête de l’eau.
La famine, la pauvreté, manque l’emploi, la cherté de la vie, les problèmes du transport, les problèmes de l’éducation/enseignement/formation et l’insécurité, sont et seront toujours les challenges de tout Président, qu’il s’appelle Abdoulaye WADE, Macky SALL, ou X Y .
Dans une démocratie appréciable, les populations doivent moins souffrir, elles doivent avoir plus de liberté de choix et plus de liberté d’expression de leurs pensées.
Tout sénégalais s’il le veut doit pouvoir créer son parti et participer comme bon lui semble aux élections organisées par son pays. Nous sommes pour que des articles supplémentaires soient ajoutés sur les textes de reconnaissance de ce type d’association pour faire ressortir les clauses de retraits d’agréments ou de récépissés des partis politiques après un certain nombre d’années d’existence.
Ces critères doivent se définir en fonction de la représentative : nombre de députés obtenus, nombre de conseillers municipaux et/ou départementaux et pourcentage obtenu lors des élections présidentielles.
Nous pensons que ceci pourrait être une piste qui permettrait à ceux qui veulent créer des partis de réfléchir mille fois mais aussi aux partis de s’organiser l’avantage et jouer pleinement leurs rôles dans l’échiquier politique, économique et social du pays.
Y’a pas de démocratie au niveau les partis : toujours les mêmes personnes (
Task force du parti) et la même démarche pour répondre aux attentes des populations.
L’innovation n’est pas au rendez-vous des discussions internes et externes, les partis ne font plus de formations et ils n’ont plus d’écoles fonctionnelles.
Les jeunes conscients vont ils continuer à faire la queue au niveau de ces associations ?
Les militants ambitieux vont-ils continuer à supporter le problème de dirigisme du chef de parti ?
Les rôles au niveau des partis ne sont distribués ou redistribués que lors des élections et avec une stratégie de parachutage bien murie et souvent utilitariste. La démarche est souvent très politicienne comme c’est le cas actuellement, des partis non structurés (APR), deux coordonnateurs reconnus dans une même localité (comme actuellement PS a Diourbel), des leaders en perte d’ambition (AFP) et des coordonnateurs très contestés (PDS). A cela s’ajoute la culture ou encore l’acception de la violence. Les militants font souvent recours à la violence lors de leurs manifestations, violence qui souvent les éloignent des idéaux du parti pour leurs faire arborer la robe du clientélisme ou du suivisme aveugle.
Les petites formations ne grenouillent pas ici et la mais tout au contraire, c’est des gens qui ont « OSER partir seul ». Parce que certainement, ils ont été étroits dans leurs formations politiques ou encore qu’ils sont très ambitieux : c’est ca la démocratie. En démocratie on ne doit pas être jaloux et on ne doit pas non plus négliger les minorités. Une minorité aujourd’hui peut une majorité demain et l’inverse.
Nous sommes dans un monde ouvert et cette ouverture nous pousse souvent à Oser faire certaine choses et à Oser prendre certaines décisions. Vous avez Oser écrire « Oser Douze propositions pour un Sénégal Emergent » et qui selon moi est une réussite. Le livre est intéressant, il édifie l’ambitieux et peut lui permettre de trouver certaines pistes ou un point de départ quant il sera NOW.
En regardant bien ces schémas, nous devons certainement nous poser des questions pas n’importent lesquelles, questions qui nous permettront certainement de comprendre pourquoi il existe autant de partis.
On peut se poser les questions suivantes :
Quels ceux qui ont eu de reconnaissance de parti ces dernières années ?
Sont-ils des militants des grands partis traditionnels ?
Sont-ils des marabouts ?
Sont-ils des jeunes ou des femmes?
Les réponses à ces questions nous permettrons d’aborder plus amplement la question de la rationalisation, de l’organisation des partis et de leurs financements.
N’empêche que nous pouvons, avec la lecture médiatique accumulée et les débats radiotélévisés, dire que l’absence d’arguments, de projets et de vision à défendre, est la conséquence de l’une et de l’autre (du mécontentement de certains et de la position politique des autres).
Peut-on avoir un débat sincère et non orienté entre l’APR, REWMI et le PDS ?
Peut-on avoir un débat sincère et non orienté entre l’AFP et le PS ?
Peut-on avoir un débat sincère et non orienté entre le PIT, l’AJ et la LD ?
Dans presque tous les débats de 2 ou 4 personnes, nous avons soit PDS et APR ; soit APR et Rewmi ; soit PDS, APR, REWMI et société civile ;
Mais comme on est en démocratie, nous pouvons toujours débattre, nous pouvons toujours donner notre point de vue et notre appréciation en général personnelle.
Encore et encore faudrait-il que cette démocratie nous fait sortir la tête de l’eau.
La famine, la pauvreté, manque l’emploi, la cherté de la vie, les problèmes du transport, les problèmes de l’éducation/enseignement/formation et l’insécurité, sont et seront toujours les challenges de tout Président, qu’il s’appelle Abdoulaye WADE, Macky SALL, ou X Y .
Dans une démocratie appréciable, les populations doivent moins souffrir, elles doivent avoir plus de liberté de choix et plus de liberté d’expression de leurs pensées.
Tout sénégalais s’il le veut doit pouvoir créer son parti et participer comme bon lui semble aux élections organisées par son pays. Nous sommes pour que des articles supplémentaires soient ajoutés sur les textes de reconnaissance de ce type d’association pour faire ressortir les clauses de retraits d’agréments ou de récépissés des partis politiques après un certain nombre d’années d’existence.
Ces critères doivent se définir en fonction de la représentative : nombre de députés obtenus, nombre de conseillers municipaux et/ou départementaux et pourcentage obtenu lors des élections présidentielles.
Nous pensons que ceci pourrait être une piste qui permettrait à ceux qui veulent créer des partis de réfléchir mille fois mais aussi aux partis de s’organiser l’avantage et jouer pleinement leurs rôles dans l’échiquier politique, économique et social du pays.
Autres articles
-
Visite du Président Nigérian en France: un changement de cap diplomatique ? (Par Magaye Gaye, économiste)
-
Commémorer Thiaroye 44 en ayant en mémoire toutes les violences coloniales commises dans le monde
-
Diomaye, la photo officielle du corps sacré (Par Bacary Domingo Mané)
-
La citoyenneté, socle de la rupture systémique (Par Bocar Kâne)
-
Analyse du rachat supposé de la Société générale sénégalaise par l'Etat du Sénégal SÉNÉGAL PAR L'ÉTAT DU SÉNÉGAL