Talla Sylla en ordre de bataille
Le sixième anniversaire de l’agression du leader de l’Alliance Jëf-jël, Talla Sylla coïncide ave le classement «sans suite» du dossier par la justice sénégalaise. Cette décision a outré le bureau politique de l’Alliance Jëf-jël qui a décidé d’y apporter une réponse énergique. En effet, l’Alliance Jëf-jël a, lors de sa réunion de ce samedi 26 septembre, décider d’organiser des manifestations pour dénoncer «l’impunité à l’occasion du sixième anniversaire de la tentative d’assassinat dont
le Président Talla Sylla fut victime le 05 octobre 2003».
Les membres du bureau politique ont estimé qu’à «l’évidence, on ne peut être commanditaire d’un assassinat et juge à la fois ! A défaut d’ensevelir le président de notre parti, l’affaire Talla Sylla est
enterrée sans cérémonie par ceux qui voulaient qu’il en soit ainsi, avec la complicité d’un appareil judiciaire vassalisé. Après la tentative de meurtre perpétrée contre le leader de l’Alliance Jëf Jël, l’enterrement en catimini d’un des plus gros scandales politico-judiciaires de l’histoire du Sénégal ne peut prospérer aux yeux des sénégalais épris de justice et de paix».
Selon eux, «il est inadmissible que des coupables soient identifiés et restent impunis et mieux, se pavanent dans les lambris dorés d’un pouvoir qui manifestement a trahi le mandat du peuple. Un régime d’oppresseurs, d’agresseurs, de chasseurs de prime et de gloriole qui sans répit nous couvre de honte ici et à l’étranger».
Les camarades de Talla Sylla alertent leurs concitoyens. «Les sénégalais sont en danger et nul n’est à l’abri des agissements d’Abdoulaye Wade et ses acolytes qui menacent dangereusement les libertés. Il faudra faire face ou se demander : à qui le tour de subir la morsure venimeuse du
serpent ?»
C’est sans doute pour cette raison que le bureau politique appelle l’ensemble des sénégalais pour un rassemblement citoyen dans le cadre d’un programme de protestation pour exiger la fin des violences politiques perpétrées par le PDS et ses affidées. Pour lui, l’opposition doit faire montre de sa capacité de mobilisation et adopter une «posture offensive» contre le pouvoir en place.
le Président Talla Sylla fut victime le 05 octobre 2003».
Les membres du bureau politique ont estimé qu’à «l’évidence, on ne peut être commanditaire d’un assassinat et juge à la fois ! A défaut d’ensevelir le président de notre parti, l’affaire Talla Sylla est
enterrée sans cérémonie par ceux qui voulaient qu’il en soit ainsi, avec la complicité d’un appareil judiciaire vassalisé. Après la tentative de meurtre perpétrée contre le leader de l’Alliance Jëf Jël, l’enterrement en catimini d’un des plus gros scandales politico-judiciaires de l’histoire du Sénégal ne peut prospérer aux yeux des sénégalais épris de justice et de paix».
Selon eux, «il est inadmissible que des coupables soient identifiés et restent impunis et mieux, se pavanent dans les lambris dorés d’un pouvoir qui manifestement a trahi le mandat du peuple. Un régime d’oppresseurs, d’agresseurs, de chasseurs de prime et de gloriole qui sans répit nous couvre de honte ici et à l’étranger».
Les camarades de Talla Sylla alertent leurs concitoyens. «Les sénégalais sont en danger et nul n’est à l’abri des agissements d’Abdoulaye Wade et ses acolytes qui menacent dangereusement les libertés. Il faudra faire face ou se demander : à qui le tour de subir la morsure venimeuse du
serpent ?»
C’est sans doute pour cette raison que le bureau politique appelle l’ensemble des sénégalais pour un rassemblement citoyen dans le cadre d’un programme de protestation pour exiger la fin des violences politiques perpétrées par le PDS et ses affidées. Pour lui, l’opposition doit faire montre de sa capacité de mobilisation et adopter une «posture offensive» contre le pouvoir en place.
Autres articles
-
Levée totale de la rétention des données sanitaires : le MSAS remercie ASAS AND GUEUSSEUM au nom du chef de l’Etat
-
Décès de Tidiane Sylla, ancien ministre du Tourisme, ce vendredi
-
« Réponse de Sonko à Macron : Au-delà d’un appel à la dignité ! », Par Cheikh Seck, Conseiller en Stratégies
-
Fin des bases militaires françaises : Le député Amadou de Pastef dénonce les « silences assourdissants des leaders de l’opposition »
-
Dame Mbodj : « la SOGIP ne donnera pas le stade Abdoulaye Wade à la lutte »