Mohamed Touré, le fils du premier président guinéen Ahmed Sékou Touré a été condamné ce lundi à sept (7) ans de prison fédérale et à trois (3) ans de libération conditionnelle. Telle est l’information rapportée cet après midi par le Star Telegram, un journal texan.
Mohamed Touré et sa femme ont été reconnus coupables d’esclavagisme en ayant fait travailler une jeune guinéenne des années sans salaire et dans des conditions difficiles.
es deux (Mohamed et son épouse) sont entrés dans la salle d’audience fédérale avec les chaînes aux pieds et aux bras, vêtus de pantalons et de chemises kaki, tenue des prisons américaines.
Le couple de guinéen doit également verser à leur ancienne domestique plus de 288.000 dollars en restitution, et ils seront en tant que résidents permanents détenteurs de la fameuse « green card » américaine, expulsés vers la Guinée après leur libération de prison.
En outre, leur maison de Southlake d’une valeur de plus d’un demi million de dollars américain a été saisie.
Mohamed Touré et sa femme Denise Cross-Touré, tous deux âgés de 58 ans, risquaient la peine maximale de 20 ans d’emprisonnement pour travail forcé et « trafic d’humain », un acte très répréhensible dans le monde occidental notamment aux Etats-Unis qui vit toujours sous les séquelles de l’esclavage des noirs d’Afrique. Il est fort probable que leur avocat fasse appel à ce jugement.
Mohamed Touré et sa femme ont été reconnus coupables d’esclavagisme en ayant fait travailler une jeune guinéenne des années sans salaire et dans des conditions difficiles.
es deux (Mohamed et son épouse) sont entrés dans la salle d’audience fédérale avec les chaînes aux pieds et aux bras, vêtus de pantalons et de chemises kaki, tenue des prisons américaines.
Le couple de guinéen doit également verser à leur ancienne domestique plus de 288.000 dollars en restitution, et ils seront en tant que résidents permanents détenteurs de la fameuse « green card » américaine, expulsés vers la Guinée après leur libération de prison.
En outre, leur maison de Southlake d’une valeur de plus d’un demi million de dollars américain a été saisie.
Mohamed Touré et sa femme Denise Cross-Touré, tous deux âgés de 58 ans, risquaient la peine maximale de 20 ans d’emprisonnement pour travail forcé et « trafic d’humain », un acte très répréhensible dans le monde occidental notamment aux Etats-Unis qui vit toujours sous les séquelles de l’esclavage des noirs d’Afrique. Il est fort probable que leur avocat fasse appel à ce jugement.