La holding familiale du groupe Dassault a confirmé vendredi qu’elle étudiait un rachat de 100% du journal Le Parisien-Aujourd’hui en France.
Un porte-parole du Groupe industriel Marcel Dassault a déclaré: « On étudie le dossier seul pour analyser un rachat du Parisien et d’Aujourd’hui en France à 100%. »
Il a ajouté que le périmètre du rachat comprenait également les imprimeries liées au Parisien et à son édition nationale.
Serge Dassault, qui possède déjà Le Figaro, a rencontré fin août Marie-Odile Amaury, propriétaire du groupe Amaury qui détient Le Parisien-Aujourd’hui en France, et lui a envoyé une lettre d’intention il y a une quinzaine de jours, a précisé le porte-parole.
Il n’a en revanche pas voulu confirmer les informations de presse selon lesquelles une offre serait imminente, déclarant qu’aucun calendrier n’avait été fixé à ce stade.
Le groupe Amaury, qui possède aussi le quotidien L’Equipe et qui pilote le Tour de France, avait fait savoir en juin qu’il étudiait un adossement « partiel » du Parisien-Aujourd’hui en France.
La Lettre de l’Expansion avait alors écrit que le groupe Amaury avait mandaté la banque Rothschild pour vendre Le Parisien-Aujourd’hui en France afin de se recentrer sur le sport.
Le Parisien suscite depuis de nombreuses convoitises.
Serge Dassault serait ainsi en concurrence avec Vincent Bolloré mais aussi, selon les quotidiens Les Echos et La Tribune, avec le groupe allemand Axel Springer ainsi que des fonds d’investissement.
Fin août, en présentant les résultats de son groupe, Vincent Bolloré avait estimé que Le Parisien constituait une “opportunité extrêmement intéressante” car “c’est un très grand journal”. Il avait toutefois dit qu’il n’y avait aucune discussions avec le groupe Amaury.
L’intérêt de Bolloré pour Le Parisien est apparu en 2009 quand Marie-Odile Amaury avait licencié d’un coup le directeur du quotidien et deux rédacteurs en chef.
Bolloré est déjà présent dans les médias par le biais des quotidiens gratuits Direct Matin et Direct Soir. Il possède également la chaîne de télévision Direct 8.
Serait aussi intéressé, selon La Tribune, le fonds d’investissement britannique Mecom qui avait tenté en 2007 de racheter Les Journaux du Midi, le groupe contrôlant les titres Nice-Matin, Corse-Matin, Var-Matin et La Provence et qui appartenait alors à Lagardère.
Le fonds français Fondations Capital a fait savoir de son côté dans le magazine Challenges qu’il était intéressé par Le Parisien mais à la recherche d’un partenaire pour l’épauler dans ce rachat.
Un porte-parole du Groupe industriel Marcel Dassault a déclaré: « On étudie le dossier seul pour analyser un rachat du Parisien et d’Aujourd’hui en France à 100%. »
Il a ajouté que le périmètre du rachat comprenait également les imprimeries liées au Parisien et à son édition nationale.
Serge Dassault, qui possède déjà Le Figaro, a rencontré fin août Marie-Odile Amaury, propriétaire du groupe Amaury qui détient Le Parisien-Aujourd’hui en France, et lui a envoyé une lettre d’intention il y a une quinzaine de jours, a précisé le porte-parole.
Il n’a en revanche pas voulu confirmer les informations de presse selon lesquelles une offre serait imminente, déclarant qu’aucun calendrier n’avait été fixé à ce stade.
Le groupe Amaury, qui possède aussi le quotidien L’Equipe et qui pilote le Tour de France, avait fait savoir en juin qu’il étudiait un adossement « partiel » du Parisien-Aujourd’hui en France.
La Lettre de l’Expansion avait alors écrit que le groupe Amaury avait mandaté la banque Rothschild pour vendre Le Parisien-Aujourd’hui en France afin de se recentrer sur le sport.
Le Parisien suscite depuis de nombreuses convoitises.
Serge Dassault serait ainsi en concurrence avec Vincent Bolloré mais aussi, selon les quotidiens Les Echos et La Tribune, avec le groupe allemand Axel Springer ainsi que des fonds d’investissement.
Fin août, en présentant les résultats de son groupe, Vincent Bolloré avait estimé que Le Parisien constituait une “opportunité extrêmement intéressante” car “c’est un très grand journal”. Il avait toutefois dit qu’il n’y avait aucune discussions avec le groupe Amaury.
L’intérêt de Bolloré pour Le Parisien est apparu en 2009 quand Marie-Odile Amaury avait licencié d’un coup le directeur du quotidien et deux rédacteurs en chef.
Bolloré est déjà présent dans les médias par le biais des quotidiens gratuits Direct Matin et Direct Soir. Il possède également la chaîne de télévision Direct 8.
Serait aussi intéressé, selon La Tribune, le fonds d’investissement britannique Mecom qui avait tenté en 2007 de racheter Les Journaux du Midi, le groupe contrôlant les titres Nice-Matin, Corse-Matin, Var-Matin et La Provence et qui appartenait alors à Lagardère.
Le fonds français Fondations Capital a fait savoir de son côté dans le magazine Challenges qu’il était intéressé par Le Parisien mais à la recherche d’un partenaire pour l’épauler dans ce rachat.