Le responsable des élèves et étudiants du parti socialiste, Moustapha Ndiarry Faye craint pour sa vie. Quatre jours après que le ministre de la justice l’a cité dans une affaire de coup d’Etat, il reçoit des menaces de mort.
«Je reçois des menaces de mort. Des personnes m’appellent au téléphone avec des numéros qui ne s’affichent pas», s’est plaint le jeune socialiste.
Selon lui, l’accusation du ministre de la justice a été cousue de fil blanc. «En réalité, c’est un gros mensonge. Le ministre de la justice est sorti de manière très officielle pour nous accuser de coup d’Etat …», a souligné l’étudiant de Sanar.
Il a expliqué dans le journal L’Observateur que le ministre pourrait être poursuivi. «Il y a plusieurs charges qui pourraient être retenues contre la personne de cheikh Tidiane Sy. Des charges qui pourraient fonder une plainte», a menacé le poulain d’Ousmane Tanor Dieng. «Je citerai, par exemple l’incitation à l’assassinat et la tentative d’éliminer un opposant. Parce qu’on accuse un responsable politique, un opposant de surcroît, de coup d’état. S’il s’agissait d’un pays où la peine de mort est appliquée, ce serait l’application directe de la peine de mort», a développé le jeune socialiste.
«Je reçois des menaces de mort. Des personnes m’appellent au téléphone avec des numéros qui ne s’affichent pas», s’est plaint le jeune socialiste.
Selon lui, l’accusation du ministre de la justice a été cousue de fil blanc. «En réalité, c’est un gros mensonge. Le ministre de la justice est sorti de manière très officielle pour nous accuser de coup d’Etat …», a souligné l’étudiant de Sanar.
Il a expliqué dans le journal L’Observateur que le ministre pourrait être poursuivi. «Il y a plusieurs charges qui pourraient être retenues contre la personne de cheikh Tidiane Sy. Des charges qui pourraient fonder une plainte», a menacé le poulain d’Ousmane Tanor Dieng. «Je citerai, par exemple l’incitation à l’assassinat et la tentative d’éliminer un opposant. Parce qu’on accuse un responsable politique, un opposant de surcroît, de coup d’état. S’il s’agissait d’un pays où la peine de mort est appliquée, ce serait l’application directe de la peine de mort», a développé le jeune socialiste.
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