Au Koweït, des supermarchés boycottent certains produits français en les retirant des rayons. Photo Yasser AL-ZAYYAT/AFP

Les appels au boycott de produits français se multiplient ce week-end dans plusieurs pays ou territoires du Moyen-Orient, après l’émoi suscité par les propos d’Emmanuel Macron, (violemment attaqué samedi par son homologue turc Recep Tayyip Erdogan) qui a promis de ne pas "renoncer aux caricatures" du prophète Mahomet.
Un hashtag #boycottfranceproducts a vu le jour sur les réseaux sociaux. Les grandes marques françaises de parfum et cosmétiques, biscuits, électroménager, pétrole ou encore produits laitiers sont notamment visés par les internautes.
Au Koweït et au Qatar, des images montrant, entre autres, les fromages Kiri, La vache qui rit et Babybel retirés des rayons de certains magasins tournent sur internet.
La France a appelé les gouvernements des pays concernés à faire "cesser" les appels au boycott de produits français et à manifester, provenant d’une "minorité radicale", leur demandant aussi d’"assurer la sécurité» des Français vivant sur leur sol.
"Les appels au boycott sont sans aucun objet et doivent cesser immédiatement, de même que toutes les attaques dirigées contre notre pays, instrumentalisées par une minorité radicale", a déclaré le ministère des Affaire étrangères.
Un hashtag #boycottfranceproducts a vu le jour sur les réseaux sociaux. Les grandes marques françaises de parfum et cosmétiques, biscuits, électroménager, pétrole ou encore produits laitiers sont notamment visés par les internautes.
Au Koweït et au Qatar, des images montrant, entre autres, les fromages Kiri, La vache qui rit et Babybel retirés des rayons de certains magasins tournent sur internet.
La France a appelé les gouvernements des pays concernés à faire "cesser" les appels au boycott de produits français et à manifester, provenant d’une "minorité radicale", leur demandant aussi d’"assurer la sécurité» des Français vivant sur leur sol.
"Les appels au boycott sont sans aucun objet et doivent cesser immédiatement, de même que toutes les attaques dirigées contre notre pays, instrumentalisées par une minorité radicale", a déclaré le ministère des Affaire étrangères.

Le Progrès