Le ministre Abdou Latif Coulibaly s'est exprimé sur le cas Ahmet Aidara, qui a valu à la SEN TV et à la ZIK FM une suspension de signale de 72 heures, suite à une décision du CNRA, qui reprochait à l'ex-animateur de "Teuss", ses revues de presse commentées en tant que maire de Guédiawaye.
Le ministre, qui s'exprimé au "Cas d'Ecole" organisé par le Tribunal des pairs a indiqué qu'il n'était pas interdit de pratiquer le journalisme.
« L’interdiction qui a été posée que je sache, n’est pas une interdiction de pratique du journalisme. C’est plus des limites apportées à un exercice qu’à une pratique au regard de la loi que régit le CNRA, la loi sur les cahiers de charges des télévisions et les radios, le Code de la presse, etc. Donc les journalistes ont la liberté d’exercer leur métier. Mais cette liberté n’est pas absolue. Elle est encadrée par des lois, par des règlements, les chartes d’éthiques et de déontologie et enfin par des règlements généraux du droit »
Poursuivant, Abdou Latif Coulibaly a ajouté que la revue de presse n'était pas une technique journalistique libre et sans règle: « Je vous rappelle ce que la loi dit et ce que les règles éthiques disent, les engagements des télévisions à travers ce qu’on appelle les cahiers de charge et les licences octroyées et les documents de base qui les appuient. La revue de presse est une technique journalistique qui obéit à des conditions de fond et de forme. C’est la reprise des articles de la presse écrite à la radio en se limitant strictement à l’esprit de l’article jamais détaché du fait que vous journaliste qui faites la revue de presse, vous n’avez pas le droit de prendre vos opinions personnelles sur le texte que le journaliste a écrit. Les textes qui sont repris de façon indépendante, détachée du texte rédigé », a-t-il soutenu.
Le ministre, qui s'exprimé au "Cas d'Ecole" organisé par le Tribunal des pairs a indiqué qu'il n'était pas interdit de pratiquer le journalisme.
« L’interdiction qui a été posée que je sache, n’est pas une interdiction de pratique du journalisme. C’est plus des limites apportées à un exercice qu’à une pratique au regard de la loi que régit le CNRA, la loi sur les cahiers de charges des télévisions et les radios, le Code de la presse, etc. Donc les journalistes ont la liberté d’exercer leur métier. Mais cette liberté n’est pas absolue. Elle est encadrée par des lois, par des règlements, les chartes d’éthiques et de déontologie et enfin par des règlements généraux du droit »
Poursuivant, Abdou Latif Coulibaly a ajouté que la revue de presse n'était pas une technique journalistique libre et sans règle: « Je vous rappelle ce que la loi dit et ce que les règles éthiques disent, les engagements des télévisions à travers ce qu’on appelle les cahiers de charge et les licences octroyées et les documents de base qui les appuient. La revue de presse est une technique journalistique qui obéit à des conditions de fond et de forme. C’est la reprise des articles de la presse écrite à la radio en se limitant strictement à l’esprit de l’article jamais détaché du fait que vous journaliste qui faites la revue de presse, vous n’avez pas le droit de prendre vos opinions personnelles sur le texte que le journaliste a écrit. Les textes qui sont repris de façon indépendante, détachée du texte rédigé », a-t-il soutenu.