D’après l’APS, le ministre de la Santé et l’Action sociale a assuré que la prise en charge des urgences fait partie des priorités de son action, estimant que la gestion de cette problématique constituera l’un des indicateurs du niveau de performance et d’efficacité du système sanitaire.
« Les urgences font partie des priorités qu’on se fixe parce que c’est là qu’une bonne partie des Sénégalais ont l’habitude de se plaindre. Sur le retard de la prise en charge des malades, une réflexion est en train d’être menée pour la production d’un document sur une refonte des urgences au niveau national », a déclaré le ministre à l’issue de sa visite de trois structures sanitaires dakaroises.
Il a ajouté : « la volonté de faire en sorte que les urgences ne soient pas seulement une question du service d’aide médicale d’urgence (SAMU) ou une question de l’hôpital. Il s’agira d’une question qui sera prise en compte au niveau de toute la pyramide sanitaire du Sénégal ».
L’urgence, c’est au niveau d’un village avec un poste de santé, a relevé M. Sy, estimant qu’il s’agira de former l’infirmier-chef de poste, lui donner un équipement pour une prise en charge en cas de complication, avoir une ambulance médicalisée pour la référence des malades. Selon lui, le système de santé doit également être apte à répondre aux défis liés aux accidents de circulation et aux accidents vasculaires cérébraux (AVC).
« Les urgences font partie des priorités qu’on se fixe parce que c’est là qu’une bonne partie des Sénégalais ont l’habitude de se plaindre. Sur le retard de la prise en charge des malades, une réflexion est en train d’être menée pour la production d’un document sur une refonte des urgences au niveau national », a déclaré le ministre à l’issue de sa visite de trois structures sanitaires dakaroises.
Il a ajouté : « la volonté de faire en sorte que les urgences ne soient pas seulement une question du service d’aide médicale d’urgence (SAMU) ou une question de l’hôpital. Il s’agira d’une question qui sera prise en compte au niveau de toute la pyramide sanitaire du Sénégal ».
L’urgence, c’est au niveau d’un village avec un poste de santé, a relevé M. Sy, estimant qu’il s’agira de former l’infirmier-chef de poste, lui donner un équipement pour une prise en charge en cas de complication, avoir une ambulance médicalisée pour la référence des malades. Selon lui, le système de santé doit également être apte à répondre aux défis liés aux accidents de circulation et aux accidents vasculaires cérébraux (AVC).
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