Dans un communiqué parvenu à notre rédaction, le mouvement Doyna Seuk appelle à l’unité de l’opposition pour bouter le Président de la République hors du Pouvoir. Cheikh Tidiane DIOP et ses camarades soutiennent que «que si l’opposition veut ce que veut le peuple, c'est-à-dire le départ de Wade, elle n'a qu'à s'unir. C'est la seule manière, selon le mouvement Doyna Seuk, de se débarrasser de la «tyrannie wadienne, de manière démocratique pour parvenir à préserver la République et la Paix».
«Comme un seul homme, comme on avait fait contre DIOUF pour élire WADE en 2000, allons à la présidentielle de 2012, UNIS», prodiguent les adversaires de Abdoulaye Wade qui se mandent s’il est possible de se ranger derrière un candidat de consensus national comme le suggère, le Texte des Assises nationales pour assurer la transition et commencer le travail après Wade.
Selon eux, un « autre Sénégal est possible sans Wade» pourvu que «l'on surmonte» les velléités partisanes, les aspirations individualistes et la surenchère des leaders de l'opposition pour s'unir derrière un seul homme bien choisi, très bien encadré et parfaitement accompagné par le peuple.
Ils estiment que le mal est toujours là et que les problèmes demeurent inchangés. «L’instabilité constitutionnelle, institutionnelle et gouvernementale est exacerbée par la posture du pouvoir», dénoncent-ils en indiquant qu’aucune des revendications mentionnées dans le Manifeste du 23 Juin et adoptées par les Forces Vives de la Nation (Partis politiques et Mouvements citoyens compris) n'a été satisfaite. «Pas de réponses positives de la part du camp libéral mais une volonté d'en découdre avec des menaces à peine voilées et la riposte par le recours à des moyens obscurs», constatent M. Diop et ses camarades. A les en croire, la psychose et le malaise ont regagné les populations toujours plongées dans les affres causées par la gouvernance privative libérale des Wade (père et fils).
«Comme un seul homme, comme on avait fait contre DIOUF pour élire WADE en 2000, allons à la présidentielle de 2012, UNIS», prodiguent les adversaires de Abdoulaye Wade qui se mandent s’il est possible de se ranger derrière un candidat de consensus national comme le suggère, le Texte des Assises nationales pour assurer la transition et commencer le travail après Wade.
Selon eux, un « autre Sénégal est possible sans Wade» pourvu que «l'on surmonte» les velléités partisanes, les aspirations individualistes et la surenchère des leaders de l'opposition pour s'unir derrière un seul homme bien choisi, très bien encadré et parfaitement accompagné par le peuple.
Ils estiment que le mal est toujours là et que les problèmes demeurent inchangés. «L’instabilité constitutionnelle, institutionnelle et gouvernementale est exacerbée par la posture du pouvoir», dénoncent-ils en indiquant qu’aucune des revendications mentionnées dans le Manifeste du 23 Juin et adoptées par les Forces Vives de la Nation (Partis politiques et Mouvements citoyens compris) n'a été satisfaite. «Pas de réponses positives de la part du camp libéral mais une volonté d'en découdre avec des menaces à peine voilées et la riposte par le recours à des moyens obscurs», constatent M. Diop et ses camarades. A les en croire, la psychose et le malaise ont regagné les populations toujours plongées dans les affres causées par la gouvernance privative libérale des Wade (père et fils).
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