Même si la Cour de répression de l'enrichissement illicite (Crei) ne l'a pas encore officiellement confirmée, la nouvelle du non-lieu de l'ancienne sénatrice Aida Ndiongue s'est répandue comme une trainée de poudre. Entre temps, l'ancienne Garde des Sceaux, Aminata Touré est passé avec des révélations qui ont fait couler beaucoup d'encre.
En effet, selon l'ancien Premier ministre l'Etat du Sénégal a recouvré plus de 200 milliards Fcfa depuis le début de la traque des biens mal acquis (2012) à nos jours. Détaillant les sources de l'argent "récupéré", Mimi avait affirmé en 2017, que 47 milliards Fcfa provenaient des comptes d'Aida Ndiongue. Ce chiffre avancé par Mimi n'était pas fortuit.
Pour rappel le 17 janvier 2014, le procureur de la République Serigne Bassirou Gueye convoquait la presse pour faire de bouleversantes révélations. Face aux journalistes, il indique que près de 47 milliards (Fcfa, euros et en bijoux) ont été découverts dans les comptes de Aida Ndiongue. Un chiffre qui avait étonnait plus d’une personne.
Dans une simulation, Serigne Bassirou Gueye apprenait aux Sénégalais qu’avec 47 milliards, on pouvait vivre 100 ans et dépenser chaque jour 1,300 millions Fcfa ».
Birahim Seck du Form Civil, qui a toujours contesté le montant avancé par Mimi Touré, arguant que le montant ce pactole n'avait rien à voir avec la traque des biens mal acquis, affirme ce mardi sur le site Dakar actu que "logique pour logique, les 47 milliards doivent être rendus à Aida Diongue". Il ajoute que c'est tout l'édifice de communication de la traque des biens mal acquis qui s'écroule si ces 47 milliards évoqués ne sont pas dans les caisses du Trésor public. Birahim Seck demande encore une fois à l’Etat du Sénégal de révéler clairement "combien" la reddition des comptes a rapporté.
L'opposition, à sa tête le Pds, avait par de multiples sorties dans les médias, apporté des démentis et qualifié les déclarations de Mimi Touré de "mensonge d'Etat". En attendant, la nouvelle envoyée spéciale du président de la République va devoir dégonfler "son sac à biens mal acquis" de 47 milliards Fcfa.
En effet, selon l'ancien Premier ministre l'Etat du Sénégal a recouvré plus de 200 milliards Fcfa depuis le début de la traque des biens mal acquis (2012) à nos jours. Détaillant les sources de l'argent "récupéré", Mimi avait affirmé en 2017, que 47 milliards Fcfa provenaient des comptes d'Aida Ndiongue. Ce chiffre avancé par Mimi n'était pas fortuit.
Pour rappel le 17 janvier 2014, le procureur de la République Serigne Bassirou Gueye convoquait la presse pour faire de bouleversantes révélations. Face aux journalistes, il indique que près de 47 milliards (Fcfa, euros et en bijoux) ont été découverts dans les comptes de Aida Ndiongue. Un chiffre qui avait étonnait plus d’une personne.
Dans une simulation, Serigne Bassirou Gueye apprenait aux Sénégalais qu’avec 47 milliards, on pouvait vivre 100 ans et dépenser chaque jour 1,300 millions Fcfa ».
Birahim Seck du Form Civil, qui a toujours contesté le montant avancé par Mimi Touré, arguant que le montant ce pactole n'avait rien à voir avec la traque des biens mal acquis, affirme ce mardi sur le site Dakar actu que "logique pour logique, les 47 milliards doivent être rendus à Aida Diongue". Il ajoute que c'est tout l'édifice de communication de la traque des biens mal acquis qui s'écroule si ces 47 milliards évoqués ne sont pas dans les caisses du Trésor public. Birahim Seck demande encore une fois à l’Etat du Sénégal de révéler clairement "combien" la reddition des comptes a rapporté.
L'opposition, à sa tête le Pds, avait par de multiples sorties dans les médias, apporté des démentis et qualifié les déclarations de Mimi Touré de "mensonge d'Etat". En attendant, la nouvelle envoyée spéciale du président de la République va devoir dégonfler "son sac à biens mal acquis" de 47 milliards Fcfa.
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