Le directeur des transports terrestres, Dame Seck a indiqué que «le non respect des règles du code de la route est la principale cause des accidents de la route au Sénégal». En effet, en un mois (le mois de mai), plus d’une trentaine de morts causés par des accidents ont été recensé. «Je pense que la principale cause c’est le non respect des dispositions qui sont prévues par le code de la route». Pour preuve, dit-il, l’année dernière quand on a lancé notre caravane de sensibilisation sur les routes nationales N1 et N2 sur les tronçons Diamniadio -Mbour et Diamniadio-Thiès, il y a des dépassements qui se font sur les lignes continues, sur les virages et des excès de vitesses. Et tout cela le code de la route l’a prévu. Dame Seck d’insister: «d’emblée je peux vous dire que c’est un non respect des dispositions qui sont prévues par le code de la route».
Selon lui, le code a prévu, pour ce qui concerne ces infractions, des sanctions. Il a expliqué que «dans l’ancien code, on avait des sanctions qui étaient pécuniaires ou pénales mais le code de 2004 a relevé la barre en instituant des sanctions pécuniaires et pénales et l’ensemble des organisations sur lequel nous nous appuyons pour transmettre ce message pour une prévention l’ont tellement déroulé depuis un an».
Le directeur des transports terrestres de confier: «je pense que nous n’allons pas nous arrêter là parce qu’il est prévu, avec la chambre de commerce, une réunion de la cellule technique de la sécurité routière élargie et je pense que l’ensemble des acteurs concernés sont invités à cette rencontre».
Selon lui, le code a prévu, pour ce qui concerne ces infractions, des sanctions. Il a expliqué que «dans l’ancien code, on avait des sanctions qui étaient pécuniaires ou pénales mais le code de 2004 a relevé la barre en instituant des sanctions pécuniaires et pénales et l’ensemble des organisations sur lequel nous nous appuyons pour transmettre ce message pour une prévention l’ont tellement déroulé depuis un an».
Le directeur des transports terrestres de confier: «je pense que nous n’allons pas nous arrêter là parce qu’il est prévu, avec la chambre de commerce, une réunion de la cellule technique de la sécurité routière élargie et je pense que l’ensemble des acteurs concernés sont invités à cette rencontre».