Selon le Bureau Politique de ce parti, « il n’est pas superflu de rappeler que l’état actuel du découpage administratif de notre pays en quatorze régions est la résultante d’un processus qui a été précédé, depuis 2000, et accompagné de discours fantaisistes prétendant fonder, sur une base « objective et scientifique », la thèse d’une décentralisation au service des populations ».
Et les camarades de Robert Sagna d’ajouter que « depuis sa prise du pouvoir en mars 2000, le régime libéral refuse de cerner les avantages d’une bonne politique de décentralisation et encourage malheureusement un découpage territorial effectué sur une base purement clientéliste sans aucune signification majeure qui tiendrait compte des réalités historiques et géographiques du milieu et sans aucune mesure d’accompagnement ».
Comme preuves ils rappellent qu’ « après avoir suscité tant d’espoir et d’enthousiasme au début de leur création, les nouvelles régions de Matam, Kaffrine, Kédougou et Sédhiou sont restées jusqu’à ce jour dans leur état de pauvreté absolue marquée par une absence d’infrastructures administratives, routières et d’activités génératrices de revenus ».
«Le Bureau Politique invite alors le régime libéral à mettre fin à ces formes de découpage hasardeuses du territoire pour plutôt approfondir, en toute objectivité, la politique de Décentralisation qui peut incontestablement être la base de tout programme de développement local. Faut-il encore le rappeler, la répétition étant pédagogique, le RSD / TDS a très tôt perçu le sens et l’intérêt d’une bonne Décentralisation en proposant d’allouer 10% du budget national aux Collectivités Locales, en plus des fonds de dotation et de concours. Ce budget pourrait considérablement améliorer les conditions de vie des populations à travers des programmes cohérents de développement à la base ».
Et les camarades de Robert Sagna d’ajouter que « depuis sa prise du pouvoir en mars 2000, le régime libéral refuse de cerner les avantages d’une bonne politique de décentralisation et encourage malheureusement un découpage territorial effectué sur une base purement clientéliste sans aucune signification majeure qui tiendrait compte des réalités historiques et géographiques du milieu et sans aucune mesure d’accompagnement ».
Comme preuves ils rappellent qu’ « après avoir suscité tant d’espoir et d’enthousiasme au début de leur création, les nouvelles régions de Matam, Kaffrine, Kédougou et Sédhiou sont restées jusqu’à ce jour dans leur état de pauvreté absolue marquée par une absence d’infrastructures administratives, routières et d’activités génératrices de revenus ».
«Le Bureau Politique invite alors le régime libéral à mettre fin à ces formes de découpage hasardeuses du territoire pour plutôt approfondir, en toute objectivité, la politique de Décentralisation qui peut incontestablement être la base de tout programme de développement local. Faut-il encore le rappeler, la répétition étant pédagogique, le RSD / TDS a très tôt perçu le sens et l’intérêt d’une bonne Décentralisation en proposant d’allouer 10% du budget national aux Collectivités Locales, en plus des fonds de dotation et de concours. Ce budget pourrait considérablement améliorer les conditions de vie des populations à travers des programmes cohérents de développement à la base ».