«Je suis une fois tombé dans un puits et à cause de tous mes accidents, j’ai eu une malformation», dit Ouzin. qui indique qu'il était trop turbulent pendant son enfance. Ce qui lui a valu pas moins de 15 accidents dont il a récolté une malformation des os. "Les gens se moquaient de moi. J’ai vraiment souffert dans ma vie» lance-t-il.
D’un autre côté son choix pour le titre de son single, «Beureung sa barigo» n’est pas hasard. «Je l’ai appelé ainsi parce que, dans la vie, il faut croire en soi pour aller loin. J’ai cru en moi. La chanson était une manière de me présenter au public en leur disant qui j’étais vraiment. C’est pourquoi j’ai clairement indiqué que j’étais novice dans le milieu», assure Ouzin qui poursuit en évoquant les critiques notamment sur sa façon de marcher selon certains qui disent qu'il sera efféminé sur les bords: «On est au Sénégal. Je savais qu’un jour ou l’autre les gens allaient parler de façon négatif de moi, critiquer ma façon de faire, de marcher ou de parler. C’est pourquoi j’ai cru bon d’anticiper dans ma chanson qu’on est au Sénégal, le pays de Wolof Ndiaye, des rapporteurs et des parleurs».
Et le jeune chanteur de nier s'être battu au sortir du Grand Théâtre samedi dernier lors de l'anniversaire de Titi mais aussi 0 Yoff. A ce propos, il n'y va pas par quatre (4) chemins: «Personne ne m’a frappé. Je ne suis pas un âne, encore moins un chien pour qu’on me frappe. Les chiens, on ne les frappes plus, à plus forte raison les hommes. C’est parce que je suis célèbre qu’on raconte du n’importe quoi sur moi».
D’un autre côté son choix pour le titre de son single, «Beureung sa barigo» n’est pas hasard. «Je l’ai appelé ainsi parce que, dans la vie, il faut croire en soi pour aller loin. J’ai cru en moi. La chanson était une manière de me présenter au public en leur disant qui j’étais vraiment. C’est pourquoi j’ai clairement indiqué que j’étais novice dans le milieu», assure Ouzin qui poursuit en évoquant les critiques notamment sur sa façon de marcher selon certains qui disent qu'il sera efféminé sur les bords: «On est au Sénégal. Je savais qu’un jour ou l’autre les gens allaient parler de façon négatif de moi, critiquer ma façon de faire, de marcher ou de parler. C’est pourquoi j’ai cru bon d’anticiper dans ma chanson qu’on est au Sénégal, le pays de Wolof Ndiaye, des rapporteurs et des parleurs».
Et le jeune chanteur de nier s'être battu au sortir du Grand Théâtre samedi dernier lors de l'anniversaire de Titi mais aussi 0 Yoff. A ce propos, il n'y va pas par quatre (4) chemins: «Personne ne m’a frappé. Je ne suis pas un âne, encore moins un chien pour qu’on me frappe. Les chiens, on ne les frappes plus, à plus forte raison les hommes. C’est parce que je suis célèbre qu’on raconte du n’importe quoi sur moi».
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