“Je ferais mieux d’aller choisir mon vocabulaiiireuh, pour te plaiiireuh, dans la langue de Molière”. Le medley d’Aya Nakamura, fait de ses tubes “Pookie”, “Djadja” et d’un standard de Charles Aznavour, “For me Formidable", accompagnée par la Garde républicaine, connaît une nouvelle vie sur TikTok. Depuis la cérémonie d’ouverture des JO, les fans se multiplient sur le pont des Arts pour y reproduire les pas de danse de l’artiste.
Ces courtes vidéos sont légendées “Sur les pas de la Reine”. On y voit des anonymes, de jour comme de nuit, tenter de se déhancher comme elle. Quelques têtes connues, comme Mathieu Maucort, délégué interministériel à la jeunesse du gouvernement français démissionnaire, s’y essaient aussi. Sa vidéo réalise d’ailleurs le meilleur score, avec près de 5 millions de vues depuis sa publication mardi.
Au revoir donc (pour un temps) les cadenas des amoureux, l’un des endroits les plus romantiques de la Ville Lumière est aujourd'hui surnommé le “pont d’Aya”.
Mais rien à voir avec l’explosion de l’”Hymne à l’amour”, qui enregistre +285% en France et +317% dans le monde sur Spotify. Le classique d’Edith Piaf a été interprété lors du final grandiose par Céline Dion depuis la tour Eiffel. Si le répertoire d’Aya Nakamura est actuellement un des plus connus sur la planète, la chanson de 1950 de celle qu’on surnommait “La Môme” n’avait jamais connu telle exposition.
Le passage d’Aya Nakamura a également permis de booster les écoutes de ses titres. En une semaine, elles ont ainsi grimpé de 36% en France et de 40% à l’international, selon les derniers chiffres de la plateforme Spotify, leader du marché mondial du streaming musical. Un petit bonus pour celle qui était déjà la chanteuse francophone la plus écoutée au monde.
Mais rien à voir avec l’explosion de l’”Hymne à l’amour”, qui enregistre +285% en France et +317% dans le monde sur Spotify. Le classique d’Edith Piaf a été interprété lors du final grandiose par Céline Dion depuis la tour Eiffel. Si le répertoire d’Aya Nakamura est actuellement un des plus connus sur la planète, la chanson de 1950 de celle qu’on surnommait “La Môme” n’avait jamais connu telle exposition.