Le Fédération des établissements privés de l'enseignement supérieur (FEPES) avait déposé une demande d'autorisation auprès du préfet de Dakar pour l'organisation d'un sit-in devant le ministère des Finances, qu'elle juge responsable du défaut de paiement de la dette de 16 milliards (selon un chiffre de la FEPES) que l'Etat doit aux universités privées.
Ladite association a reçu la notification d'interdiction de l'autorité administrative qui a invoqué la "violation de l’arrêté N° 007530/ MINT/ du 20 juillet 2011, des menaces de troubles à l’ordre public, des risques de destruction de biens publics, des risques de perturbations du bon fonctionnement du service public".
Des motifs que la FEPES a qualifié de "fallacieux et contraire à tous les principes fondamentaux qui sous-tendent une République démocratique". Les établissements privés du supérieur ne comptent lâcher du lest cependant. Ils entendent ainsi "continuer le combat par toutes les voies démocratiques et légales jusqu’à ce qu’une solution définitive soit apportée à cette situation insupportable".
Ladite association a reçu la notification d'interdiction de l'autorité administrative qui a invoqué la "violation de l’arrêté N° 007530/ MINT/ du 20 juillet 2011, des menaces de troubles à l’ordre public, des risques de destruction de biens publics, des risques de perturbations du bon fonctionnement du service public".
Des motifs que la FEPES a qualifié de "fallacieux et contraire à tous les principes fondamentaux qui sous-tendent une République démocratique". Les établissements privés du supérieur ne comptent lâcher du lest cependant. Ils entendent ainsi "continuer le combat par toutes les voies démocratiques et légales jusqu’à ce qu’une solution définitive soit apportée à cette situation insupportable".