L'Institut Africain de Gestion Urbaine (IAGU) a lancé officiellement un projet de recherche-action sur la violence chez les jeunes à Dakar, ce mercredi. Ce, pour fournir des données probantes, aux décideurs publics, aux acteurs sociaux et aux jeunes filles et garçons qui permettront l’élaboration de politiques et de programmes pour lutter efficacement contre l’exclusion des jeunes et leur engagement dans les situation de violence.
Selon le Docteur Omar Cissé, l'idée de ce projet a été motivée par la recrudescence de la violence chez les jeunes au Sénégal. «Dans l’agglomération dakaroise, tout le monde s’accorde à dire que la banlieue est la zone la plus criminogène, mais ces dernières décennies, aucune partie de la capitale n’est pas épargnée. D’où le choix porté sur deux (2) communes, une de Dakar et une autre de la banlieue», dit-il.
Pour lui, «l’Institut a comme ambition de renforcer les capacités de planification et de gestion, pour construire des villes prospères, sûres et durables. Depuis plusieurs années, nous respectons et nous nous inscrivons dans ce sens. Nous sommes tous convaincus que la question de la durabilité obéit à plusieurs dimensions : social, économique, écologique et même institutionnelle. Pour construire des villes durables, sûres, prospères, il nous faut nous attaquer à plusieurs dimensions de façon interactive de façon participative».
Dans son intervention Docteur Cissé a rappelé :
«Notre champ d’intervention, de réflexion, c’est la ville mais c’est un partenariat avec les Communes. Nous nous intervenons à l’IAGU sur trois (3) axes: la recherche action participative, pluriactive et pluridisciplinaire. La question des villes sûres revient fréquemment, mais aussi la question de la violence notamment sur la perspective jeunes, nous interpellent tous. La violence obéit à plusieurs dimensions et aucune de ces dimensions ne doit être sous-estimée», a-t-il relevé.
A l’en croire, «malgré de multiples initiatives de sécurisation des personnes et des biens, le phénomène semble bien enraciné dans la société urbaine dakaroise. A cet effet, le projet s’interroge sur les stratégies, les politiques et les technologies qui pourraient aider à prévenir et/ou lutter efficacement contre la violence, l’injustice et l’exclusion auxquels les jeunes (filles et garçons) sont confrontés en milieu urbain et péri-urbain».
Pour le représentant du maire de la commune des HLM, «ce programme sur la violence chez les jeunes à Dakar, porté par le Centre de Recherche pour le Développement International (CRDI) nous concerne tous. D’autant plus que HLM, ces dernières années, a enregistré des crimes au niveau de trois (3) zones: Angle Mouss, Hlm Montagne et Hlm 4 (en face de l’église)».
Monsieur SY de la Commune de Médina Gounass par ailleurs représentant du maire, a lui, exposé les difficultés que vit la population de cette localité. Pour lui, si l’on parle de banlieue, on parle de violence et d’insécurité. «Médina Gounass n’échappe pas à cette vision partagée», a-t-il soutenu.
Et d'ajouter: «Médina Gounass, une petite Commune de Guédiawaye, avec une seul école primaire, sans collège ni lycée, Médina Gounass qui n’a même pas de marché, un quartier non loti, non aménagé, un quartier ou on note à chaque fois des problèmes de sécurité de violence, de pauvreté. Dans un passé ressent, on ne peut pas parler de Médina Gounass sans pour autant parler d’inondation. Ça veut dire que cette étude implique toute la collectivité de Médina Gounass».
L'IAGU est une ONG internationale dont la mission est d’accompagner les municipalités de l’Afrique de l’Ouest et du Centre à renforcer leurs capacités de planification et de gestion pour construire des villes inclusives prospères et durables.
Selon le Docteur Omar Cissé, l'idée de ce projet a été motivée par la recrudescence de la violence chez les jeunes au Sénégal. «Dans l’agglomération dakaroise, tout le monde s’accorde à dire que la banlieue est la zone la plus criminogène, mais ces dernières décennies, aucune partie de la capitale n’est pas épargnée. D’où le choix porté sur deux (2) communes, une de Dakar et une autre de la banlieue», dit-il.
Pour lui, «l’Institut a comme ambition de renforcer les capacités de planification et de gestion, pour construire des villes prospères, sûres et durables. Depuis plusieurs années, nous respectons et nous nous inscrivons dans ce sens. Nous sommes tous convaincus que la question de la durabilité obéit à plusieurs dimensions : social, économique, écologique et même institutionnelle. Pour construire des villes durables, sûres, prospères, il nous faut nous attaquer à plusieurs dimensions de façon interactive de façon participative».
Dans son intervention Docteur Cissé a rappelé :
«Notre champ d’intervention, de réflexion, c’est la ville mais c’est un partenariat avec les Communes. Nous nous intervenons à l’IAGU sur trois (3) axes: la recherche action participative, pluriactive et pluridisciplinaire. La question des villes sûres revient fréquemment, mais aussi la question de la violence notamment sur la perspective jeunes, nous interpellent tous. La violence obéit à plusieurs dimensions et aucune de ces dimensions ne doit être sous-estimée», a-t-il relevé.
A l’en croire, «malgré de multiples initiatives de sécurisation des personnes et des biens, le phénomène semble bien enraciné dans la société urbaine dakaroise. A cet effet, le projet s’interroge sur les stratégies, les politiques et les technologies qui pourraient aider à prévenir et/ou lutter efficacement contre la violence, l’injustice et l’exclusion auxquels les jeunes (filles et garçons) sont confrontés en milieu urbain et péri-urbain».
Pour le représentant du maire de la commune des HLM, «ce programme sur la violence chez les jeunes à Dakar, porté par le Centre de Recherche pour le Développement International (CRDI) nous concerne tous. D’autant plus que HLM, ces dernières années, a enregistré des crimes au niveau de trois (3) zones: Angle Mouss, Hlm Montagne et Hlm 4 (en face de l’église)».
Monsieur SY de la Commune de Médina Gounass par ailleurs représentant du maire, a lui, exposé les difficultés que vit la population de cette localité. Pour lui, si l’on parle de banlieue, on parle de violence et d’insécurité. «Médina Gounass n’échappe pas à cette vision partagée», a-t-il soutenu.
Et d'ajouter: «Médina Gounass, une petite Commune de Guédiawaye, avec une seul école primaire, sans collège ni lycée, Médina Gounass qui n’a même pas de marché, un quartier non loti, non aménagé, un quartier ou on note à chaque fois des problèmes de sécurité de violence, de pauvreté. Dans un passé ressent, on ne peut pas parler de Médina Gounass sans pour autant parler d’inondation. Ça veut dire que cette étude implique toute la collectivité de Médina Gounass».
L'IAGU est une ONG internationale dont la mission est d’accompagner les municipalités de l’Afrique de l’Ouest et du Centre à renforcer leurs capacités de planification et de gestion pour construire des villes inclusives prospères et durables.