La situation du Sénégal est, présentement, préoccupante. Le porte-parole du ministère des Affaires étrangères et de l’Union européenne s’en désole. Il a produit un communiqué pour faire part de ses craintes et appeler l’Etat au respect des procédures judiciaires. «Nous sommes extrêmement préoccupés par la mise en garde à vue des membres du M23 et notamment celle de son Porte-parole, M. Alioune Tine, également Président de la Rencontre africaine pour les droits de l’Homme (RADDHO) survenue samedi 28 janvier», a déclaré le porte-parole du ministère des Affaires étrangères et européennes de la France.
Et de poursuivre : «face aux multiples arrestations, la France rappelle son attachement au respect des procédures judiciaires et des droits de la défense. Nous condamnons, par principe, toute instrumentalisation de la justice à des fins politiques».
Alain Juppé et ses services sont, par ailleurs, revenus sur la décision du Conseil constitutionnel du Sénégal qui vient de confirmer la liste des candidats à la présidentielle qu’il avait publiée le vendredi 27 janvier. La France regrette que toutes les sensibilités politiques ne puissent être représentées. En outre, a ajouté le Quai d’Orsay, elle (la France) étudiera avec la plus grande attention les observations que fera la mission de l’Union européenne sur le processus de validation de ces candidatures.
Il a, ainsi, espéré que «la campagne électorale à venir doit se dérouler dans le calme et la pluralité. Les autorités sénégalaises en sont les garantes. Nous appelons l’ensemble des acteurs à la responsabilité».
Et de poursuivre : «face aux multiples arrestations, la France rappelle son attachement au respect des procédures judiciaires et des droits de la défense. Nous condamnons, par principe, toute instrumentalisation de la justice à des fins politiques».
Alain Juppé et ses services sont, par ailleurs, revenus sur la décision du Conseil constitutionnel du Sénégal qui vient de confirmer la liste des candidats à la présidentielle qu’il avait publiée le vendredi 27 janvier. La France regrette que toutes les sensibilités politiques ne puissent être représentées. En outre, a ajouté le Quai d’Orsay, elle (la France) étudiera avec la plus grande attention les observations que fera la mission de l’Union européenne sur le processus de validation de ces candidatures.
Il a, ainsi, espéré que «la campagne électorale à venir doit se dérouler dans le calme et la pluralité. Les autorités sénégalaises en sont les garantes. Nous appelons l’ensemble des acteurs à la responsabilité».
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