"Aujourd’hui, nous sommes arrivés pratiquement, l’ensemble des forces armées, à un taux de présence de plus de 99% alors que nous partions en 2011 à un taux de présence de 55 à 60%", a dit M. Koffi, se félicitant de la "maîtrise des effectifs".
Evoquant les "questions d’importances" qui ont été traités sous sa coupole, il a relevé entre autres le "redressement des forces armées à travers une réforme de l’organisation et du commandement (…), la réinstauration d’une discipline qui était partie suite à la crise postélectorale" de 2010 qui a fait officiellement 3.000 morts, "mais aussi et surtout le renforcement des capacités des hommes".
Paul Koffi Koffi a également rappelé dans son discours l’indice général de sécurité qui est passé de 3.8 en janvier 2012 à 1.1, estimant que le "challenge" du ministre entrant, Alain-Richard Donwahi, sera de "maintenir ce niveau", étant donné qu’il est "impossible d’avoir un indice 0".
Donwahi s’est engagé pour sa part à "continuer le travail immense qui a été fait" tout en saluant les "énormes progrès de l’armée".