Au ministère de l’Intérieur, des représentants de la Commission électorale nationale autonome (CENA) étaient sur place, de même que les mandataires d’une vingtaine de partis et coalitions de partis, selon l’Agence de presse sénégalaise (APS)
La ruée des mandataires se poursuivait lundi soir au ministère de l’Intérieur, où devaient être déposées au plus tard avant minuit les listes des candidats aux élections législatives du 1er juillet.
Dans les couloirs du ministère se pressaient les représentants de la coalition « Salam » d’Abdou Samath Mbacké, de l’Alliance démocratique « Penco » de Moussa Tine, de l’Union pour le renouveau démocratique (URD) de Djibo Leyti Kâ, de la coalition des Alliés du peuple de Demba Dia, d’AJ/PADS/Tendance Mamadou Diop « Decroix » et de la Convergence patriotique pour la justice et l’équité de Diop Sy.
Ceux du Parti démocratique sénégalais (PDS), Oumar Sarr et Modou Diagne Fada, de l’Alliance Bokk Guiss Guiss, Moussa Sy et Aliou Dia étaient aussi présents.
Tout comme les responsables de Synergie pour le progrès, du Mouvement républicain pour la démocratie et le socialisme (MRDS) et du Parti authentique sénégalais (PAS). Ces formations sont respectivement dirigées par Matabara Diop (ancien Directeur général du Centre des oeuvres universitaires de Dakar), l’imam Mbaye Niang (ministre-conseiller du président Macky Sall) et Souty Touré (député, ancien ministre).
Des responsables de la coalition « Benno Bokk Yakaar » (BBY, mouvance présidentielle) étaient aussi sur place.
Peu avant 23 heures, trois partis et une coalition avaient déjà déposé leur liste au ministère de l’Intérieur. Il s’agit du Rassemblement des écologistes du Sénégal (RES-Les Verts) d’Ousmane Sow Huchard, de Démocratie citoyenne (DC) de Samir Abourizk, du Parti pour la vérité et le développement (PDV) de Serigne Modou Kara Mbacké et de la coalition « Petaw » de Ndella Diouf, selon toujours la même source.
Ce scrutin du 01er juillet, est le premier test de la loi sur la parité votée en 2010.
Cette loi exige des partis et coalitions de partis l’égalité de genre - autant de femmes que d’hommes - sur les listes devant disputer des fonctions électives ou semi-électives, comme les législatives.
Pressafrik.com & APS