
Le député Mamadou Diop Decroix a évoqué les chances de l’opposition dont il est membre pour mener le président Macky Sall et sa mouvance vers une cohabitation à l’Assemblée nationale aux élections législatives de juillet 2022.
Pour lui, ces chances dépendent de la « maturité des leaders » et du niveau d’organisation des forces qui veulent réellement des changements de fond, quant à la marche du pays. Diop Decroix qui s’exprimait dans une interview avec L’Observateur a posé plusieurs interrogations pour y arriver.
« La question essentielle est de savoir pourquoi on se bat. Est-ce que qu’on se bat pour être soi-même député ou pour créer un rapport de force en faveur d’une opposition à l’Assemblée nationale qui prennent réellement la défense des intérêts du peuple », se demande-t-il.
Concernant une éventuelle alliance entre sa coalition Wallu Sénégal et Yewwi Askan Wi de Ousmane Sonko, le député a fait savoir que le travail est loin d’être terminé pour les deux camps. A l’en croire, l’opposition, malgré les percées opérées aux élections locales de janvier 2023, est « assez loin derrière le pouvoir au des résultats ».
« Cela doit inciter l’opposition à éviter le syndrome de 2017 lorsque nous avons échoué à réaliser une alliance de la quasi-totalité de l’opposition », a-t-il prévenu.
Pour lui, ces chances dépendent de la « maturité des leaders » et du niveau d’organisation des forces qui veulent réellement des changements de fond, quant à la marche du pays. Diop Decroix qui s’exprimait dans une interview avec L’Observateur a posé plusieurs interrogations pour y arriver.
« La question essentielle est de savoir pourquoi on se bat. Est-ce que qu’on se bat pour être soi-même député ou pour créer un rapport de force en faveur d’une opposition à l’Assemblée nationale qui prennent réellement la défense des intérêts du peuple », se demande-t-il.
Concernant une éventuelle alliance entre sa coalition Wallu Sénégal et Yewwi Askan Wi de Ousmane Sonko, le député a fait savoir que le travail est loin d’être terminé pour les deux camps. A l’en croire, l’opposition, malgré les percées opérées aux élections locales de janvier 2023, est « assez loin derrière le pouvoir au des résultats ».
« Cela doit inciter l’opposition à éviter le syndrome de 2017 lorsque nous avons échoué à réaliser une alliance de la quasi-totalité de l’opposition », a-t-il prévenu.
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