La montée de la violence en cette période de campagne pour les législatives du 17 novembre a suscité la réaction du Conseil national de régulation de l’audiovisuel (CNRA). Invité de l’émission « Salam Sénégal » sur Radio Sénégal international (RSI), Matar Sall, directeur de cabinet du président du CNRA, a interpellé les médias. Il a rappelé l’importance de ne pas diffuser les propos violents tenus par les candidats dans ce contexte sensible. Matar Sall appelle ainsi les médias à faire preuve de « responsabilité et de vigilance ».
« Je commence par regretter cette situation de tensions qui a commencé à s’installer et peut-être prier pour que ça ne continue pas. En réalité, on est en période électorale, on n’a pas besoin de tensions. C’est la raison pour laquelle nous attirons l’attention, en notre qualité de régulateur, les médias. S’il y a violence aussi les médias doivent jouer un rôle très important pour que le pays ne connaisse pas une situation d’embrasement », a dit Matar Sall.
D’après le directeur de cabinet du président du CNRA, s’il y a des situations de violences qui sont constatées dans le pays, les « médias doivent jouer leur rôle et exercer leur mission avec professionnalisme ». Cependant, il invite les médias « d’éviter de relayer des propos très violents, les discours de haine, les discours violents et autres ».
À l’en croire, les médias ont toujours joué un rôle très important dans la démocratie au Sénégal. « Il faut continuer à jouer ce rôle et surtout éviter d’être le relais de violence que ne devrait pas connaître le Sénégal pendant cette période électorale », a exhorté Matar Sall.
Revenant sur le traitement médiatique de la campagne, Matar Sall informe que le CNRA veille à garantir un équilibre dans le traitement entre tous les candidats à la RTS. Pour la presse privée, « on ne leur impose pas l’égalité entre les différents candidats. C’est à eux de s’organiser pour trouver cet équilibre. Ce n’est pas une obligation pour la presse privée de couvrir une campagne électorale, ce qui n’est pas le cas pour la RTS », a-t-il expliqué.
Pour la presse écrite, la vigilance est également de mise. « En période électorale, le CNRA est compétent tant sur l’audiovisuel que sur la presse écrite. Les sanctions prévues pour l’audiovisuel sont également applicables à la presse écrite durant cette période électorale. Une suspension de la parution d’un quotidien pour une période déterminée est même envisageable. Les règles sont très claires », a fait savoir M. Sall.
« Je commence par regretter cette situation de tensions qui a commencé à s’installer et peut-être prier pour que ça ne continue pas. En réalité, on est en période électorale, on n’a pas besoin de tensions. C’est la raison pour laquelle nous attirons l’attention, en notre qualité de régulateur, les médias. S’il y a violence aussi les médias doivent jouer un rôle très important pour que le pays ne connaisse pas une situation d’embrasement », a dit Matar Sall.
D’après le directeur de cabinet du président du CNRA, s’il y a des situations de violences qui sont constatées dans le pays, les « médias doivent jouer leur rôle et exercer leur mission avec professionnalisme ». Cependant, il invite les médias « d’éviter de relayer des propos très violents, les discours de haine, les discours violents et autres ».
À l’en croire, les médias ont toujours joué un rôle très important dans la démocratie au Sénégal. « Il faut continuer à jouer ce rôle et surtout éviter d’être le relais de violence que ne devrait pas connaître le Sénégal pendant cette période électorale », a exhorté Matar Sall.
Revenant sur le traitement médiatique de la campagne, Matar Sall informe que le CNRA veille à garantir un équilibre dans le traitement entre tous les candidats à la RTS. Pour la presse privée, « on ne leur impose pas l’égalité entre les différents candidats. C’est à eux de s’organiser pour trouver cet équilibre. Ce n’est pas une obligation pour la presse privée de couvrir une campagne électorale, ce qui n’est pas le cas pour la RTS », a-t-il expliqué.
Pour la presse écrite, la vigilance est également de mise. « En période électorale, le CNRA est compétent tant sur l’audiovisuel que sur la presse écrite. Les sanctions prévues pour l’audiovisuel sont également applicables à la presse écrite durant cette période électorale. Une suspension de la parution d’un quotidien pour une période déterminée est même envisageable. Les règles sont très claires », a fait savoir M. Sall.