La situation est assez contrastée dans le pays. Si les électeurs d’Abidjan ont semble-t-il eu du mal à se mobiliser aujourd’hui pour aller voter, selon nos informations, les taux de participations dans les grandes villes du reste du pays ont été assez importants. Ces taux pourraient être plus importants que lors du récent référendum constitutionnel en octobre dernier.
Les villes de Séguéla, d’Adzopé, de Korhogo, de San-Pédro ont voté en nombre pour leurs députés cette année. En revanche, à Abidjan, les taux de participation à la mi-journée sur certains bureaux étaient seulement de 6 à 15%, comme RFI a pu le constater à Port-Bouët ou à Bengerville. A Cocody, au centre scolaire de Riviera, les huit bureaux de vote ne sont jamais arrivés à plus de 25% de participation à la fermeture.
Résultats d'ici vendredi
La majorité parlementaire espérée par le président Ouattara sera peut-être forte, mais ce qui apparaît probable aussi, c’est que la participation à Abidjan sera plutôt faible. Tout comme dans la deuxième ville du pays. Les élections législatives se sont déroulées dans le calme à Bouaké, mais n'ont aussi pas attiré grand monde. C'est au compte-gouttes que les électeurs se sont déplacés pour accomplir leur devoir de citoyen. Jusqu'à la fermeture des bureaux de vote, les appels à la mobilisation ont été lancés.
Les villes de Séguéla, d’Adzopé, de Korhogo, de San-Pédro ont voté en nombre pour leurs députés cette année. En revanche, à Abidjan, les taux de participation à la mi-journée sur certains bureaux étaient seulement de 6 à 15%, comme RFI a pu le constater à Port-Bouët ou à Bengerville. A Cocody, au centre scolaire de Riviera, les huit bureaux de vote ne sont jamais arrivés à plus de 25% de participation à la fermeture.
Résultats d'ici vendredi
La majorité parlementaire espérée par le président Ouattara sera peut-être forte, mais ce qui apparaît probable aussi, c’est que la participation à Abidjan sera plutôt faible. Tout comme dans la deuxième ville du pays. Les élections législatives se sont déroulées dans le calme à Bouaké, mais n'ont aussi pas attiré grand monde. C'est au compte-gouttes que les électeurs se sont déplacés pour accomplir leur devoir de citoyen. Jusqu'à la fermeture des bureaux de vote, les appels à la mobilisation ont été lancés.