Les Lions ont perdu contre les Eléphants de Côte d’Ivoire (1-3) pour la manche aller des barrages qualificatifs à la coupe du monde 2014. Mais à l’analyse, cette défaite a confirmé les difficultés entrevues à Marrakech alors que les Lions jouaient contre les Cranes de l’Ouganda.
Mis sous pression dès le début du match, le 7 septembre dernier, les Lions n’avaient dû leur salut qu’à la maladresse des Ougandais qui n’avaient pas autant de talents que les Eléphants de Côte d’Ivoire dans le même compartiment de jeu.
Pour n’avoir pas perçu cette friabilité, le staff technique national, Alain Giresse, en tête, a été obligé de sortir Lamine Gassama en 2-ème période pour le remplacer par Issa Cissokho.
On pouvait penser que la qualification aux barrages dans la poche, on aurait vu une autre équipe sénégalaise plus engagée avec la proximité de la coupe du monde et la possibilité de prendre part à un Mondial en terre d’excellence du football, le Brésil.Mais que nenni !
Ni dans l’engagement, ni dans l’état d’esprit, on a senti cette équipe capable de se rebeller, de se remettre en question samedi soir au stade Félix Houphouet Boigny d’Abidjan.
Vingt minutes déjà, l’équipe du Sénégal avait rendu les armes ou presque et la remise en question n’a été perceptible qu’à travers deux voire trois joueurs, Idrissa Gana Guèye, Pape Ndiaye Souaré et dans une moindre mesure, Dame Ndoye.
Mais une hirondelle ne faisant pas le printemps, c’était insuffisant pour bousculer et remettre en question une équipe ivoirienne qui, sans trop lever son niveau de jeu, a réussi à se donner une marge sécurisante avant la manche retour.
Les Eléphants se sont même permis de vendanger quelques occasions qui auraient pu tuer tout suspense au match retour.
Mais avec une telle équipe du Sénégal, Sabri Lamouchi et ses protégés peuvent se dire qu’il n’y a même pas match au retour. Et le but de Papiss Demba Cissé doit juste aider à les éveiller pour terminer le travail commencé à Abidjan.
Avec cette défaite, les Lions ont réussi à remettre en selle une équipe ivoirienne moribonde avec le moral à zéro, après ces derniers résultats en dents de scie, la lourde défaite 1-4 contre le Mexique en amical et le nul 1-1 contre le Maroc à domicile.
Même si Lamouchi continue à subir la défiance de certains de ses joueurs, du public et des journalistes ivoiriens qui ne le prennent ni plus ni moins que comme un stagiaire, le jeune technicien aura toujours le temps de se préparer convenablement.
Pour permettre aux Eléphants de se qualifier à une 3-ème coupe du monde d’affilée. Et pourquoi pas d’envisager de passer au moins au 2-ème tour d’un Mondial?
En 2006 et en 2010, ils ont été stoppés dès premier tour malgré la richesse de leur effectif et la présence sur leurs bancs de techniciens aussi expérimentés qu’Henri Michel (France) et Sven-Goran Ericksson (Suède).
Aps
Mis sous pression dès le début du match, le 7 septembre dernier, les Lions n’avaient dû leur salut qu’à la maladresse des Ougandais qui n’avaient pas autant de talents que les Eléphants de Côte d’Ivoire dans le même compartiment de jeu.
Pour n’avoir pas perçu cette friabilité, le staff technique national, Alain Giresse, en tête, a été obligé de sortir Lamine Gassama en 2-ème période pour le remplacer par Issa Cissokho.
On pouvait penser que la qualification aux barrages dans la poche, on aurait vu une autre équipe sénégalaise plus engagée avec la proximité de la coupe du monde et la possibilité de prendre part à un Mondial en terre d’excellence du football, le Brésil.Mais que nenni !
Ni dans l’engagement, ni dans l’état d’esprit, on a senti cette équipe capable de se rebeller, de se remettre en question samedi soir au stade Félix Houphouet Boigny d’Abidjan.
Vingt minutes déjà, l’équipe du Sénégal avait rendu les armes ou presque et la remise en question n’a été perceptible qu’à travers deux voire trois joueurs, Idrissa Gana Guèye, Pape Ndiaye Souaré et dans une moindre mesure, Dame Ndoye.
Mais une hirondelle ne faisant pas le printemps, c’était insuffisant pour bousculer et remettre en question une équipe ivoirienne qui, sans trop lever son niveau de jeu, a réussi à se donner une marge sécurisante avant la manche retour.
Les Eléphants se sont même permis de vendanger quelques occasions qui auraient pu tuer tout suspense au match retour.
Mais avec une telle équipe du Sénégal, Sabri Lamouchi et ses protégés peuvent se dire qu’il n’y a même pas match au retour. Et le but de Papiss Demba Cissé doit juste aider à les éveiller pour terminer le travail commencé à Abidjan.
Avec cette défaite, les Lions ont réussi à remettre en selle une équipe ivoirienne moribonde avec le moral à zéro, après ces derniers résultats en dents de scie, la lourde défaite 1-4 contre le Mexique en amical et le nul 1-1 contre le Maroc à domicile.
Même si Lamouchi continue à subir la défiance de certains de ses joueurs, du public et des journalistes ivoiriens qui ne le prennent ni plus ni moins que comme un stagiaire, le jeune technicien aura toujours le temps de se préparer convenablement.
Pour permettre aux Eléphants de se qualifier à une 3-ème coupe du monde d’affilée. Et pourquoi pas d’envisager de passer au moins au 2-ème tour d’un Mondial?
En 2006 et en 2010, ils ont été stoppés dès premier tour malgré la richesse de leur effectif et la présence sur leurs bancs de techniciens aussi expérimentés qu’Henri Michel (France) et Sven-Goran Ericksson (Suède).
Aps