Le rapport 2010 a souligné que «pour atteindre les OMD, il faudra prêter une attention accrue aux plus vulnérables». Ainsi les experts ont fait comprendre que «dans toutes les régions en développement, les enfants des zones rurales risquent plus souvent de souffrir d’insuffisances pondérale que des enfants des zones urbaines». Ce constat est réel dans les caraïbes, certaines régions d’Asie entre 1990 et 2008, ont-ils souligné.
Le rapport a, aussi, montré qu’il existe des fossés énormes entre les ménages les plus riches et les ménages les plus pauvres car «en Asie du Sud, 60% des enfants des zones les plus pauvres souffrent d’insuffisance pondérale, contre 25% des ménages les plus riches».
Les experts ont notés que sur le plan de la santé maternelle, il ya d’énormes disparités entre riches et pauvres. La preuve est que dans les pays développés la totalité des accouchements se font en présence d’un personnel soignant qualifié. Ils ont fait savoir que «la moitié seulement de la population du monde en développement utilisent des installations sanitaires améliorées».
L’éducation n’a pas été en reste dans ce rapport. Elle influe sur les comportements de tous les jours des populations. Ils ont, ainsi, noté que «le manque d’éducation constitue un autre obstacle majeur pour l’accès aux outils qui permettraient d’améliorer la vie des populations». En plus la pauvreté et les inégalités dans la scolarisation perpétuent les taux élevés de naissance chez les adolescents. Cependant le rapport a montré que le recours à la contraception est quatre fois plus élevé chez les femmes qui ont atteint l’éducation secondaire que ceux qui n’ont pas été à l’école.
En conclusion les experts ont souligné que les «objectifs du millénaire pour le développement restent à notre portée». Le sommet qui aura lieu au mois de septembre sera l’occasion pour les dirigeants du monde «de traduire ces acquis en un plan d’action concret».
Le rapport a, aussi, montré qu’il existe des fossés énormes entre les ménages les plus riches et les ménages les plus pauvres car «en Asie du Sud, 60% des enfants des zones les plus pauvres souffrent d’insuffisance pondérale, contre 25% des ménages les plus riches».
Les experts ont notés que sur le plan de la santé maternelle, il ya d’énormes disparités entre riches et pauvres. La preuve est que dans les pays développés la totalité des accouchements se font en présence d’un personnel soignant qualifié. Ils ont fait savoir que «la moitié seulement de la population du monde en développement utilisent des installations sanitaires améliorées».
L’éducation n’a pas été en reste dans ce rapport. Elle influe sur les comportements de tous les jours des populations. Ils ont, ainsi, noté que «le manque d’éducation constitue un autre obstacle majeur pour l’accès aux outils qui permettraient d’améliorer la vie des populations». En plus la pauvreté et les inégalités dans la scolarisation perpétuent les taux élevés de naissance chez les adolescents. Cependant le rapport a montré que le recours à la contraception est quatre fois plus élevé chez les femmes qui ont atteint l’éducation secondaire que ceux qui n’ont pas été à l’école.
En conclusion les experts ont souligné que les «objectifs du millénaire pour le développement restent à notre portée». Le sommet qui aura lieu au mois de septembre sera l’occasion pour les dirigeants du monde «de traduire ces acquis en un plan d’action concret».