Lat Diop, membre des partis non-alignés
La coalition des partis non-alignés n’est pas contente de la mission exploratoire composée d’experts européens et américains qui a rencontré il y a quelques semaines les acteurs politiques et de la Société civile. Pour ces partis non-alignés, le rapport marquant la fin de la mission exploratoire n’a tenu compte que des préoccupations de la coalition au pouvoir».
En tant que Président de la République et Gardien de la Constitution, cette coalition lui demande d’arbitrer. «Vous devrez accepter qu’un audit de tout le processus électoral se fasse avec d’autres termes de référence que ceux imposés.
D’ailleurs, estiment-ils « la mission exploratoire pour l’audit du seul fichier électoral nous permet de confirmer que tous les indicateurs d’une fraude massive pour la présidentielle de 2012 sont au vert». C’est la raison pour laquelle « le Coordonnateur de la Coalition des 25 partis non alignés, El Hadj Hamidou Diallo, n’a cessé de le dire et, il affirme que des élections libres et transparentes sont garantes d’une paix post électorales», lit-on dans le courrier adressé au chef de l’Etat. Pour eux, «le contraire plongerait le Sénégal et toute l’Afrique Occidentale dans une spirale de déstabilisation et de violence progressives dont personne n’en voudrait».
En tant que Président de la République et Gardien de la Constitution, cette coalition lui demande d’arbitrer. «Vous devrez accepter qu’un audit de tout le processus électoral se fasse avec d’autres termes de référence que ceux imposés.
D’ailleurs, estiment-ils « la mission exploratoire pour l’audit du seul fichier électoral nous permet de confirmer que tous les indicateurs d’une fraude massive pour la présidentielle de 2012 sont au vert». C’est la raison pour laquelle « le Coordonnateur de la Coalition des 25 partis non alignés, El Hadj Hamidou Diallo, n’a cessé de le dire et, il affirme que des élections libres et transparentes sont garantes d’une paix post électorales», lit-on dans le courrier adressé au chef de l’Etat. Pour eux, «le contraire plongerait le Sénégal et toute l’Afrique Occidentale dans une spirale de déstabilisation et de violence progressives dont personne n’en voudrait».