Jugeant la situation qui prévaut dans l’administration sénégalaise paradoxale et estimant qu’il y a un système d’indemnité abusive dans ce milieu, le personnel de l’administration Sénégalaise, des corps de la hiérarchie A spécial à ceux de la hiérarchie E, et tous les agents non fonctionnaires engagés par référence à ces corps, les informaticiens, les secrétaires et les chauffeurs ont mis sur pied le Syndicat des Agents de l’Administration du Sénégal (SAAS). Ce syndicat va permettre de participer à une «synergie salutaire» au niveau du secteur public.
Le front syndical s’enrichit d’une nouvelle organisation. Le Syndicat des Agents de l’Administration du Sénégal (SAAS) vient d’être porté sur les fonts baptismaux pour mieux prendre en charge les fonctionnaires et ceux qui tournent autour de l’administration sénégalaise. Il regroupe entre autres le personnel de l’administration Sénégalaise, des corps de la hiérarchie A spécial, ceux de la hiérarchie E, et tous les agents non fonctionnaires engagés par référence à ces corps comme les informaticiens, les secrétaires et les chauffeurs.
Les dirigeants de ce nouveau syndicat ont estimé que «l’émergence de cet outil de lutte au sein du paysage syndical de l’Administration publique, au delà de sa mission première qui est la lutte contre les dysfonctionnements criards qui lézardent celle-ci, participera à une synergie salutaire au niveau du secteur public».
Constatant que la situation qui prévaut dans l’Administration du Sénégal est, à tout le moins, paradoxale, ces travailleurs de l’administration ont estimé que: «cette situation administrative incongrue trouve son pendant naturel dans la topographie chaotique des grilles salariales appliquées aux agents de la Fonction publique. Un système d’indemnité abusive fait que deux agents avec deux diplômes de même niveau, recrutés à la même hiérarchie se retrouvent avec une différence de traitement salarial allant du simple au double voire au triple». Selon eux, «cette politique de deux poids, deux mesures est à ce point enracinée dans la pratique de l’autorité que l’iniquité et l’injustice flagrante que constituent les fluctuations arbitraires des traitements salariaux d’agents de mêmes diplômes et exerçant le même travail dans les mêmes conditions ne heurtent plus les consciences».
Les initiateurs du syndicat ont ajouté : «cet état de fait s’explique pour l’essentiel par l’inexistence en particulier d’un syndicat engagé et dynamique regroupant les agents de l’Etat».
Le front syndical s’enrichit d’une nouvelle organisation. Le Syndicat des Agents de l’Administration du Sénégal (SAAS) vient d’être porté sur les fonts baptismaux pour mieux prendre en charge les fonctionnaires et ceux qui tournent autour de l’administration sénégalaise. Il regroupe entre autres le personnel de l’administration Sénégalaise, des corps de la hiérarchie A spécial, ceux de la hiérarchie E, et tous les agents non fonctionnaires engagés par référence à ces corps comme les informaticiens, les secrétaires et les chauffeurs.
Les dirigeants de ce nouveau syndicat ont estimé que «l’émergence de cet outil de lutte au sein du paysage syndical de l’Administration publique, au delà de sa mission première qui est la lutte contre les dysfonctionnements criards qui lézardent celle-ci, participera à une synergie salutaire au niveau du secteur public».
Constatant que la situation qui prévaut dans l’Administration du Sénégal est, à tout le moins, paradoxale, ces travailleurs de l’administration ont estimé que: «cette situation administrative incongrue trouve son pendant naturel dans la topographie chaotique des grilles salariales appliquées aux agents de la Fonction publique. Un système d’indemnité abusive fait que deux agents avec deux diplômes de même niveau, recrutés à la même hiérarchie se retrouvent avec une différence de traitement salarial allant du simple au double voire au triple». Selon eux, «cette politique de deux poids, deux mesures est à ce point enracinée dans la pratique de l’autorité que l’iniquité et l’injustice flagrante que constituent les fluctuations arbitraires des traitements salariaux d’agents de mêmes diplômes et exerçant le même travail dans les mêmes conditions ne heurtent plus les consciences».
Les initiateurs du syndicat ont ajouté : «cet état de fait s’explique pour l’essentiel par l’inexistence en particulier d’un syndicat engagé et dynamique regroupant les agents de l’Etat».
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