Une salle de marchés à Pékin, le 3 novembre 2008. (Photo : Reuters)
Les pays émergents se portent moins bien, les Etats-Unis et l'Europe donnent des signes de reprise : il n'en faut pas davantage pour que les capitaux à la recherche du meilleur profit délaissent les marchés émergents et reviennent alimenter le Dow jones et le CAC 40.
Ils anticipent aussi que la Réserve fédérale américaine (la Fed) va bientôt mettre un terme à sa politique monétaire laxiste, entraînant le retour à des taux plus rémunérateurs pour les investisseurs. Résultat, les Bourses remontent aux Etats-unis et en Europe, et, par un effet de bascule, la roupie indienne plonge à un niveau historiquement bas ; le real brésilien et la roupie indonésienne reculent sensiblement.
Depuis la crise de 2008, les capitaux volatils avaient fui les zones à risque et mis tous leurs espoirs dans les économies russe, chinoise, indienne ou brésilienne. Or, la croissance est décevante dans ces pays : la Chine n'est plus qu'à 7,5% et la Russie à 2% de croissance. Les analystes craignent que ce mouvement s'étende à l'ensemble des pays émergents, en commencant par les plus fragiles d'entre eux.
Source : Rfi.fr
Ils anticipent aussi que la Réserve fédérale américaine (la Fed) va bientôt mettre un terme à sa politique monétaire laxiste, entraînant le retour à des taux plus rémunérateurs pour les investisseurs. Résultat, les Bourses remontent aux Etats-unis et en Europe, et, par un effet de bascule, la roupie indienne plonge à un niveau historiquement bas ; le real brésilien et la roupie indonésienne reculent sensiblement.
Depuis la crise de 2008, les capitaux volatils avaient fui les zones à risque et mis tous leurs espoirs dans les économies russe, chinoise, indienne ou brésilienne. Or, la croissance est décevante dans ces pays : la Chine n'est plus qu'à 7,5% et la Russie à 2% de croissance. Les analystes craignent que ce mouvement s'étende à l'ensemble des pays émergents, en commencant par les plus fragiles d'entre eux.
Source : Rfi.fr